lundi 29 novembre 2010

Samir : un potentiel de hausse en Bourse de 12% et un bénéfice de près d'un milliard de DH

La situation financière de Samir se redresse progressivement et les analystes ne manquent pas d’afficher leur satisfaction par rapport aux perspectives de la société. Après avoir rétabli ses indicateurs d’activité et de rentabilité l’année dernière, au lendemain d’un exercice 2008 marqué par la crise, le raffineur devrait clôturer cette année avec un chiffre d’affaires de plus de 30 milliards de DH, en hausse de 15%, et un résultat net de 981 MDH, en expansion de 77%. En 2011, le trend haussier des réalisations devrait se poursuivre et le volume d’activité devrait atteindre 32,4 milliards de DH pour un bénéfice net de 1,19 milliard de DH. Ces prévisions confortent les analystes dans leur recommandation d’acheter le titre du raffineur. Ceux de BMCE Capital lui fixe un cours théorique de 699 DH. Comparée au cours bouriser du 22 novembre (624 DH), la valeur offre ainsi un potentiel de hausse de 12%.

Il faut noter que la mise en service par Samir de son nouveau complexe de hydrockraking au début de ce second semestre, ayant permis de renforcer de 60% sa capacité de production à 4,2 millions de tonnes, a renforcé les niveaux de marge de la société à plus de 6 dollars par baril de pétrole. Les bonnes conditions de marché et de prix ont de plus incité le raffineur à recourir pleinement à ses installations, comme le prouve l’augmentation du taux d’utilisation de la capacité de raffinage qui ressort désormais à 93% contre 76% à fin 2009. Ainsi, sur le plan commercial, et tenant compte de la bonne tenue de son activité durant le premier semestre de cette année (chiffre d’affaires en hausse de 15%), la société ambitionne de renforcer ses ventes de 5% au Maroc, pour s’établir à 5,9 millions de tonnes en fin d’année.

Côté investissements, Samir entend poursuivre les travaux de ses principaux projets, relatifs principalement à sa quatrième unité de distillation, à l’augmentation de sa capacité de production de bitume et à la récupération d’énergie au sein de sa raffinerie de Mohammédia. Pour les prochaines années, la société projette de créer un complexe pétrochimique basé sur le process de cracking par vapeur. Cette unité devrait être destinée à produire l’éthylène et le propylène, nécessaires à la fabrication de polyéthylène et polypropylène. En outre, et désirant profiter pleinement du potentiel du GNL (Gaz natuel liquéfié), le raffineur poursuit ses études visant à valider la possibilité de mettre en place un terminal de GNL et de gazoducs à l’avenir.

Au vu de cette politique d’investissement ambitieuse pour les prochaines années, le top management de Samir précise qu’aucune distribution de dividende ne devrait avoir lieu avant 2012. Mais dès 2013, les cash-flows importants que devrait dégager la société lui permettront d’afficher un rendement de dividende intéressant.

source lavieeco.com

Risma 1,2 milliards DH à investir encore d’ici à 2013

Risma, qui vient d'obtenir l'accord du CDVM pour une augmentation de capital réservée aux actionnaires actuels par l'émission d'obligations remboursables en action (ORA), renforce ses capitaux propres permanents pour mieux faire face au financement de son programme de développement 2010-2013. Ce programme prévoit un investissement global de 1,6 milliard DH, dont 1,2 milliard DH reste encore à investir.

source maroc-journal.com

2010, une année difficile pour la papeterie

La flambée des prix à l'international de la pâte à papier a impacté les performances.

Cette année, l'industrie de papeterie a pâti de la flambée des prix à l'international de la pâte à papier, principal intrant dans le processus de fabrication du papier. Durant le premier semestre 2010, le prix de cet intrant importé en grande quantité par les industriels a grimpé de près de 80%, affectant ainsi considérablement les performances des sociétés opérant dans le secteur.

Pour ne citer que le cas de Med Paper (société cotées en bourse), elle a affiché un chiffre d'affaires en retrait de 8,47% à fin juin 2010, principalement à cause de la variation erratique des prix de cette matière à l'international, d'autant que la pâte à papier représente près de 58% des intrants, principalement en provenance de Cellulose du Maroc. Le reste, est quant à lui, importé d'Europe, et ce en fonction des disponibilités et des offres sur le marché international. Ainsi, pour améliorer ses performances, cette société, qui table sur le démarrage de la troisième ligne de production au début du deuxième semestre 2010 pour augmenter la production de 30% et aussi le chiffre d'affaires, envisage de négocier des contrats pour l'achat de la pâte à papier pour les deux années à venir, et ce afin de se prémunir d'une éventuelle flambée. Pour le groupe CMCP, dont l'activité papetière est marquée en 2010 par une reprise de volumes de plus de 10%, (portée à la fois par un bon développement à l'export mais aussi par une amélioration de l'offre notamment pour le carton plat), la démarche est tout autre.

«La spéculation en la matière est toujours risquée et nous sommes très attentifs à suivre de plus près nos conditions d'approvisionnement pour éviter les ruptures et rester dans les conditions de marché du moment. Cette approche, contrairement à la très grande majorité de notre concurrence internationale, nous a permis également de maintenir des délais de livraisons très courts », a précisé Philippe d'Adhémar, directeur général des Papeteries du Groupe CMCP à Kénitra. C'est ainsi, que pour éviter l'impact direct sur les marges tout en fidélisant la clientèle, le management a dû agir avec précaution. «Dans un contexte de crise et de reprise économique lente, notre politique a été d'absorber au maximum ces fluctuations. Ainsi, nous n'avons répercuté que très partiellement l'impact », a-t-il poursuivi.

Le groupe, dont l'activité est axée sur l'emballage papier carton avec deux gammes de produits à savoir le carton plat et le papier pour ondulé, a profité également, cette année, du développement d'un nouveau couchage améliorant le rendu d'impression des cartons mais aussi de nouveaux produits répondant aux attentes du marché national. L'innovation, l'amélioration de la qualité et la distribution demeurent des points forts sur lesquels reposent les grandes sociétés opérant dans ce secteur pour maintenir ou développer leur positionnement. Certains même jouent la carte de l'environnement pour se différencier. C'est le cas notamment du groupe CMCP, filiale d'International Paper.

« Nous sommes en phase de lancement d'une station d'épuration des eaux usées pour assurer une fabrication respectueuse de l'environnement en ligne avec la Charte Nationale pour l'Environnement et le Développement Durable », a indiqué Philippe d'Adhémar. Actuellement, il n'existe pas au Maroc de réglementation environnementale spécifique quant à l'industrie papetière et portant notamment sur la revalorisation de ses déchets et la minimisation de l'impact de ses derniers sur son environnement.
La normalisation du procédé de production à l'image des contraintes environnementales appliquées en Europe pourrait acculer les opérateurs à engager des investissements non négligeables pour se conformer à la législation.

Concurrence déloyale

Les industries du secteur de la papeterie évoluent dans un environnement national caractérisé par l'importance du secteur informel, d'où des pratiques courantes de ventes sans TVA qui représentent l'essentiel du chiffre d'affaires afférent au secteur. A cela s'ajoutent les importations, hors droits de douane et TVA, du papier édition dont la destination est souvent détournée à d'autres fins pour venir inonder le marché informel. Il en est de même pour les importations d'autres types de papier impression-écriture, souvent sous-facturées, débouchant ainsi sur une concurrence déloyale. Ces pratiques encouragées par l'existence de barrières douanières à l'entrée devraient logiquement perdre leur sens avec le démantèlement douanier en cours.

source lematin.ma

SRM remporte un contrat de six millions d’euros pour l'équipement de Renault-Melloussa

SRM, filiale du groupe Premium, a remporté un contrat portant sur environ 67 millions de DH pour l'équipement du nouveau site de Renault Tanger de l’ensemble des solutions logistiques. Celles-ci comprennent plus de 150 chariots élévateurs et tracteurs de manutention de différents types. Ce contrat a été remporté par SRM suite à un appel d’offre international ayant mis en compétition les "grands" opérateurs du domaine
Le groupe Premium vient d'annoncer que sa filiale SRM-qui opère dans la distribution de matériels et biens d’équipement pour le levage, la manutention au sol, l’énergie et le BTP- a remporté un contrat d’un montant de 6 millions d’Euros (environ 67 millions de DH) pour l'équipement du nouveau site de Renault Tanger. En effet, SRM équipera cette  nouvelle usine, située à Melloussa, de l’ensemble des solutions logistiques comprenant plus de 150 chariots élévateurs et tracteurs de manutention de différents types. Selon le management du groupe Premium, ce contrat a été remporté par SRM suite à un appel d’offre international ayant mis en compétition les grands opérateurs du domaine. Le groupe estime que la proximité géographique et la performance de ses solutions de manutention Linde  ont favorisé SRM face à une concurrence internationale. Linde pour rappel  est un grand acteur mondial des chariots de magasinage et des chariots frontaux électriques et thermiques. Il appartient au groupe Kion, leader européen de la manutention. Par ailleurs, selon la même source, la livraison des différents engins de manutention, de SRM à Renault-Melloussa, s’étalera sur les deux prochaines années afin d’assurer l’ouverture à temps de l’usine prévue en 2012.
"Pour ce projet d’envergure, Renault a misé sur la solution proposée par SRM qui répond le mieux à l’ensemble des contraintes complexes sur le plan technique, organisationnel et économique pour un démarrage d’usine d’une telle ampleur. L’étude du dossier a duré prés de 8 mois et le choix final n’est certainement pas le fruit du hasard et conforte la position de SRM en tant que leader incontesté dans le domaine de la manutention", estime le management du groupe Premium. Et d'ajouter que ce choix est d’autant plus stratégique que ces solutions de manutention viennent en support à un rythme de production effréné soit 30 véhicules /heure sur l’usine.

A noter qu'en juin dernier,  SRM a commencé à entreprendre dans des formations aux utilisateurs (formation à la sécurité des caristes dans le milieu du travail).  Elle a lancé ainsi le "premier" Certificat d’Aptitude à la Conduite en Sécurité au Maroc (CACES) dédié aux caristes et opérateurs dans les domaines de la logistique et manipulation des marchandises.  En lançant cette formation, la société souhaite de  sécuriser, le chariot mais aussi,  l’opérateur sur son environnement de travail. Elle a  opté pour le Certificat d’aptitude à la conduite en sécurité pour les caristes avec un cursus mettant l’accent sur la  sécurité et la prévention des risques. Selon la filiale du groupe Premium, l’amélioration des conditions de sécurité implique également la valorisation du personnel de manutention, l’amélioration de sa productivité et la réduction des immobilisations machines sur sites logistiques.

Pour rappel, le nouveau  site Renault-Tanger sera opérationnel début 2012, avec une capacité de production de 30 véhicules par heure, soit 170 mille véhicules par an, pour arriver à terme à une capacité de 400.000 véhicules par an, générant 6.000 emplois directs et 30.000 emplois indirects.

source maroceco.ma

Téléphonie : un prix unique d'interconnexion à partir de janvier 2013

En plus de la baisse graduelle des tarifs, l'asymétrie des prix favorise la multiplicité des offres.
Pour le client, le prix de la communication suit la même courbe.
Le fixe et la mobilité restreinte sont aussi concernés.

Les toutes dernières offres de forfaits mises sur le marché par les opérateurs télécoms confirment l’intensification de la concurrence. Même si les prix n’ont pas baissé de manière significative, l’introduction, à partir d’un forfait de 2h 30, d’un numéro illimité sur le réseau et l’élargissement des gratuités (soirs, week-ends et jours fériés) sur les appels vers les réseaux concurrents sont une avancée remarquable. Pourquoi de telles offres sont-elles possibles maintenant ? Cela a été rendu possible par deux éléments. Il y a d’abord la baisse des prix d’interconnexion, c’est-à-dire les redevances que se paient mutuellement les opérateurs lorsque leurs abonnés appellent les clients des concurrents. L’autre élément est que, après que Wana Corporate eut obtenu l’asymétrie des prix, il a fallu aussi en faire bénéficier Méditel qui l’avait demandé bien avant, sans succès. Ce principe qui est accepté dans de nombreux pays est fondé sur l’idée que les redevances ne doivent pas être les mêmes pour un nouvel arrivant que pour les opérateurs qui ont déjà pu amortir une partie ou la totalité de leurs équipements et de leurs infrastructures. Cela donne aussi un bon coup de fouet à l’émulation tout en permettant aux opérateurs nouvellement installés d’avoir les moyens de rentabiliser leurs investissements dans des conditions proches de ceux qui les ont devancés sur le marché.

Les opérateurs dans une posture favorable pour concevoir de nouveaux produits

Avant le 1er juillet, Méditel et Maroc Telecom devaient se régler mutuellement l’équivalent de 1,1551 DH (prix calculés par minute et au tarif de l’heure pleine), alors qu’ils reversaient à Wana 1,4207 DH pour que l’appel de leur client transite par son réseau. Depuis le 1er juillet 2010, les prix ont été réaménagés. C’est ainsi que jusqu’au 30 juin 2011, l’opérateur historique recevra de la concurrence 0,8317 DH sur chaque appel qui passe par son réseau, Méditel 0,9980 DH et Wana 1,2309 DH. La tendance à la baisse est consignée dans un échéancier établi par le régulateur et à compter du premier janvier 2013, la redevance va devenir unique, quel que soit l’opérateur. Pour l’année 2013, elle sera de 0,4043 DH.
On voit aussi que la baisse du prix de l’interconnexion, tout comme l’arrivée de l’asymétrie, a des répercussions plus larges aussi bien sur le fixe que sur la mobilité restreinte et le prépayé (voir tableau). Et ce n’est pas un hasard si, aujourd’hui, on a abouti au tarif unique sur le prépayé et qui est passé de 4,80 DH à 3,60 DH la minute, quel que soit l’opérateur


source lavieeco.com

IB Maroc change la date de clôture de son exercice social

IB Maroc rejoint la majorité des sociétés cotées en ce qui concerne la date de clôture de son exercice social. Le management de la société vient de convoquer une assemblée extraordinaire des actionnaires pour modifier les dates d’ouverture et de clôture respectivement au 1er janvier et 31 décembre de chaque année au lieu du 1er avril et 31 mars. IB Maroc compte également écourter à titre exceptionnel l’exercice en cours qui aura une durée de neuf mois et sera clôturé le 31 décembre 2010. Notons qu’il ne reste désormais que deux sociétés, Unimer et Cartier Saâda, qui clôturent leur exercice le 31 mars.

source lavieeco.com

vendredi 26 novembre 2010

Lancement des travaux du Parc industriel CFCIM d’Ouled Salah

Lancement des travaux pour le nouveau parc industriel d’Ouled Salah, deuxième projet réalisé par la CFCIM en partenariat avec le ministère du Commerce et de l’Industrie.
« Il s’agit d’une zone industrielle moderne qui s’étendra sur 32 hectares avec comme objectif d’accueillir 150 entreprises industrielles », explique Mounir Benyahya, Directeur de la SOGEPOS (Société de Gestion et d’Exploitation du Parc d’Ouled Salah). Le projet prévoit à la fois des terrains industriels équipés en location et des bâtiments prêts à l’emploi. Il offrira aux investisseurs et à leur personnel un certain nombre d’équipements communs : sécurité, restauration, banque, commerces,…
Un guichet unique d’accompagnement est également prévu pour aider les investisseurs dans toutes leurs relations avec les administrations. L’investissement global du projet atteint 177 millions de dirhams. Le foncier représente 14 millions de dirhams, fi nancé par la CFCIM. Le ministère du Commerce et de l’Industrie a de son côté apporté une subvention de 12 millions de dirhams afi n de réaliser les investissements hors site, c’est-à-dire le raccordement du terrain aux infrastructures existantes.
Dansle tour de table de la SOGEPOS, fi gurent les grandes banques de la place (Crédit du Maroc, BMCE, BMCI, Société Générale Maroc, Banque Populaire de Casablanca), ainsi que la SANAD et Med-Z. La cérémonie de pose de la première pierre du Parc a eu lieu le 16 juin dernier en présence notamment de l’Ambassadeur de France au Maroc, Bruno Joubert, de Mohssine Semmar, directeur des Etudes et de la Planifi cation au ministère du Commerce et de l’industrie (représentant le ministre Ahmed Reda Chami), du Vice-Président de la région Nord-Pas de Calais, Pierre de Saintignon, du Gouverneur et Secrétaire général de la Wilaya du Grand Casablanca, Mouâad Jamai, du Gouverneur de la province de Nouasseur, Mohamed El Hafi d et du président de la commune d’Ouled Salah, Nourredine Rafik.

source francemondexpress.fr

BMCE Bank International en lieu et place de Medicapital Bank

La filiale londonienne de BMCE Bank, anciennement dénommée Medicapital Bank, devient BMCE Bank International.
Cette banque, spécialisée dans l'investissement en Afrique, émettrait le vœu de fusionner, prochainement, avec Bank of Africa pour donner naissance à un leader continental, selon certaines sources.
Dans tous les cas, la BMCE Bank International poursuit son offre de services complets d'investissement et de services bancaires en gros avec ses divisions de base (corporate banking, conseil) pour des sociétés en Afrique à qui elle permet l'accès aux marchés internationaux de capitaux et l'expertise financière.

source lesafriques.com

Bourse : Sonasid recommandé à la vente par CFG

Sonasid continue à s’attirer les foudres des analystes suite aux mauvais résultats semestriels. Ainsi, dans sa dernière note de recherche, CFG recommande le titre à la vente avec un cours cible de 1.576 DH, ce qui représente une décote de 16% par rapport au cours actuel.


source infomediaire.ma

    Renault Tanger: Contrat pour SRM

    SRM Manutention, filiale du groupe Premium, équipera l'usine Renault Tanger de plus de 150 chariots élévateurs de type électrique et thermique, de porte-conteneurs et de tracteurs de manutention.
    Le marché a été décroché suite à un appel d'offres international, face aux principaux concurrents à l'échelle mondiale. Le montant du contrat est estimé à plus de 6 millions d'euros (67 millions de DH environ).
    source leconomiste.com

    Le match CDG/Risma serait-il lancé?

    On a senti le coup venir. La montée en puissance de CDG Développement dans l’offre touristique du pays. Non pas pour ses timides tentatives, presque avortées, confiées à sa filiale de gestion et d’aménagement touristique, Sogatour (5 hôtels), mais pour ses nombreux faits d’armes de ces dernières années. Les derniers en date, la reprise en 2005 du projet de marina de Casablanca (26 ha), via sa filiale immobilière CGI; Sa prise de participation en 2007 à hauteur de 30% dans le méga projet de la nouvelle ville touristique intégrée de Chbika, à Tan-Tan; Ou encore, le partenariat stratégique signé en 2009, d’un côté, entre CGI et Madaef (fonds d’investissement touristique de CDG) et, de l’autre, le Français, Pierre & Vacances, leader européen de l’offre résidence touristique. Tous les projets, en chantier, qui en découlent, mis bout à bout, donnent à voir un pari complètement fou. Près de 32 milliards de DH (31,7 milliards exactement) à investir entre 2006 et 2020 dans le tourisme. Au total, ce sont 18 projets, pour la plupart de grande envergure, à réaliser à travers le pays. Pour cela, le montant des investissements prévus, inclue aussi bien la part de la CDG que celle des ses co-actionnaires, voire d’éventuels développeurs, notamment Pierre & Vacances (Projet Oasis Eco Resort à Marrakech) ou l’Egyptien Orascom Developpement (Oued Chbika).
    source leconomiste.com

    Gros volume mais la Bourse reste dans le rouge

    mardi 23 novembre 2010

    Sonasid : Le sidérurgiste laminé par la concurrence

    Le marché national du rond à béton et du fil machine est en baisse de 10%, comparativement au premier semestre 2009. Plusieurs facteurs conjoncturels ont accompagné ce recul, notamment le retard de lancement des travaux d’infrastructure et des programmes immobiliers sociaux, ainsi qu’une politique de stockage prudente des distributeurs dans un contexte de prix incertains. Depuis 2009, trois nouveaux laminoirs sont entrés en production. La stagnation du marché ne permet pas actuellement d’absorber leur montée en puissance. Dans le même temps, le marché s’est installé dans une situation de surcapacité qui atteint 25% au premier semestre.
    Dans ce contexte, les expéditions de Sonasid ont reculé de 33% par rapport à la même période de 2009.
    En effet, au terme du premier semestre, la filiale marocaine du Groupe Arcelor Mittal affiche des réalisations nettement inférieures aux prévisions des analystes financiers. Elle enregistre un chiffre d’affaires de 2.162 MDH, en contraction de 32% comparativement à la même période une année auparavant. «Cette contre-performance résulte notamment de la régression des expéditions de la société», comme l’a déclaré le management.
    Le résultat d’exploitation a lui-même enregistré une baisse de 30% par rapport au premier semestre 2009, soit 78,8 MDH contre 112,5 MDH, en raison de la hausse des provisions sur créances ou stocks.
    Quant au résultat net, il s’établit à 47,8 MDH, en recul de 58% par rapport au premier semestre 2009 où il enregistrait 115,2 MDH.
    En consolidé, le chiffre d’affaires diminue de 32,3% à 2.196 MDH, tandis que le résultat net part du groupe accuse une baisse de 45,6% à
    82,8 MDH, ramenant la marge nette à 3,8%, contre 4,7% durant le premier semestre de 2009.
    Selon les analystes de BMCE Capital Bourse, «Sonasid semble accuser le coup d’une stratégie passive primant la préservation de ses marges aux dépens de sa part de marché. Ainsi, en dépit de la reprise des cours des aciers longs durant le premier semestre 2010, les agrégats de la société ressortent en contraction».
    Pour ce qui est des perspectives, le marché du rond à béton reste largement tributaire du rythme de réalisation des investissements de travaux publics (infrastructures, ports, autoroutes) et des programmes de logements sociaux.
    Sonasid adaptera la marche de ses outils en fonction du marché. À signaler que la relance du rond à béton n’est pas attendue avant la fin de l’année.
     
    source financenews.press.ma

    SearchGold effectue une mise à jour technique sur le projet aurifère de Bakoudou et son anticipation de démarrage

    MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwire - 23 nov. 2010) - Ressources SearchGold Inc  a le plaisir de fournir une mise à jour technique sur le projet minier de la Zone A du projet aurifère de Bakoudou-Magnima situé au Gabon en Afrique.
    L'estimé de Réserves et de Ressources effectué en conformité avec le Règlement 43-101 sur la Zone A du projet aurifère Bakoudou-Magnima a été rendu publique le 13 août 2008, un mois avant la chute de la banque Lehman Brothers au coeur de la pire crise financière des 70 dernières années (voir le communiqué de presse daté du 13 août 2008). Le climat économique en vigueur avait entravé le financement du projet depuis. De plus, suite au décès d'Omar Bongo en juin 2009, le Gabon a réussi avec succès une transition démocratique positive.
    L'année 2010 s'est avérée beaucoup plus bénéfique pour le projet et SearchGold a le plaisir de présenter les faits saillants suivants.
    • Avril 2010 : Commande du broyeur à boulets,
    • Mai 2010 : Convention Minière finale signé avec l'Etat Gabonais,
    • Juillet 2010 : démarrage de la déforestation site,
    • Septembre 2010 : Lancement du génie civil,
    • Novembre 2010 : Signature d'un crédit de 20 millions de dollars avec Chaabi International Bank.
    À compter d'aujourd'hui, environ 20 millions de dollars a déjà été fermement engagé pour la construction du projet, 75% de ce montant portant sur les infrastructures générales, l'équipement minier et de l'équipement de procédé pour l'usine de traitement. Managem a jusqu'à présent supporté tous les coûts relatifs au développement du projet.
    SearchGold prévoit les étapes de projet suivantes au cours des 8 prochains mois :
    • Décembre 2010 : Démarrage du pré-décapage de la Zone A,
    • Janvier 2011 : Arrivée sur le site du concasseur primaire,
    • Février 2011 : Arrivée sur le site des concentrateurs Falcon, des grizzlys et des cyclones,
    • Mars 2011 : Lancement du montage des équipements et construction de l'unité de traitement,
    • Avril 2011 : Arrivée sur le site du broyeur à boulets principal et achèvement du parc à résidus,
    • Juin 2011 : Mise en service de l'unité de traitement,
    • Juillet 2011 : Démarrage officiel de la Zone A du projet Bakoudou.
    Le projet bénéficiera certainement des prix actuels de l'or qui ont récemment touché des sommets sans précédent, dépassant brièvement les US$ 1.400 l'once. Des mises à jour complémentaires concernant l'économie du projet ainsi que des mises à jour techniques seront fournies au fur et à mesure de l'avancement des travaux de construction et de finalisation du projet. Des photos de la construction en cours seront disponibles sur le site web de SearchGold.
    Philippe Giaro, P. Geo., Président et chef de la direction de Ressources SearchGold Inc et Personne Qualifiée pour SearchGold, a revu et approuvé le contenu de ce communiqué.
    Au sujet de Managem et Bakoudou-Magnima
    En Juillet 2005, SearchGold a signé une entente stratégique de $ 4.200.000 sur le projet de Bakoudou-Magnima avec Managem, une compagnie minière bien établie basée en Afrique (www.managem-ona.com). Grâce à ses filiales, le groupe Managem exploite 6 mines au Maroc et a également été impliqué dans le développement de deux mines d'or en Afrique de l'Ouest.
    Le projet aurifère de Bakoudou-Magnima couvre une superficie de 2,934 km², est situé au sud-est du Gabon et est accessible par la route. En 2008, un estimé de Réserves et de Ressources effectué en conformité avec le Règlement 43-101 sur la Zone A a présenté des réserves de 155.000 onces d'or (réserves prouvées de 0,58 MT @ 2,54 g/t Au et réserves probables de 1,12 MT @ 2,98 g/t Au) contenues dans des ressources totales de 230.000 onces d'or (ressources mesurées de 0,53 MT@ 2,84 g/t Au et des ressources indiquées de 1,87 MT @ 3.06 g/t Au). Le projet minier de la Zone A de Bakoudou envisage la construction d'une mine d'or à ciel ouvert avec une durée de vie projetée de 3,5 ans qui produira environ 42.000 onces d'or par année. A ce jour SearchGold détient 27% de REG, la filiale gabonaise locale, dans le cadre de l'Accord de Partenariat Managem-SearchGold.
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    Au sujet de Ressources SearchGold Inc.
    Ressources SearchGold Inc. est une société minière canadienne dont l'objectif principal est l'identification, l'exploration et le développement de gisements aurifères en Afrique. La compagnie est présentement active au Burkina Faso, au Gabon et en Guinée; SearchGold a récemment effectué des évaluations de projets dans de nouvelles juridictions africaines en adéquation géographique avec sa position actuelle. Par le biais de transactions corporatives innovantes, SearchGold a su garder un intérêt dans tous les actifs importants qui ont été acquis et développés au cours de son existence en tant que société publique. SearchGold a l'intention de tirer parti de sa présence africaine établie afin de poursuivre son développement.

    Ni la Bourse de croissance TSX ni son Fournisseur de Services Règlementaire (tel que défini dans les Règlements de la Bourse de croissance TSX) n'acceptent de responsabilité concernant la véracité ou l'exactitude de son contenu.

    source marketwire.com

    Eolien : le vent souffle enfin pour les firmes marocaines

    Le royaume fait figure de pionnier en Afrique. Fortes de leur expérience dans l’énergie éolienne, des sociétés locales se positionnent, de la fabrication de mâts jusqu’à l’exploitation de parcs.
    Le plus grand parc éolien d’Afrique a été inauguré le 28 juin, à Tanger, par le roi Mohammed VI. Le site, qui représente un investissement de 225 millions d’euros, comprend 126 hélices pour une puissance installée de 140 MW et permet de doubler la capacité de production du royaume, en la portant à 286 MW.
    Cela fait dix ans que les éoliennes tournent au Maroc. Les premières ont été installées en 2000, à Tétouan, avec un parc d’une puissance de 54 MW. D’autres ont depuis complété le dispositif : le parc du cimentier Lafarge, construit en 2005 (32 MW) à Tétouan lui aussi, et celui d’Essaouira, bâti sur la côte atlantique en 2007 (60 MW).
    Au démarrage de l’éolien, ce sont surtout des compagnies occidentales qui ont décroché les marchés, sous forme de BOT (build, operate and transfer), des contrats de vingt ans à la fin desquels l’exploitation sera transférée à l’Office national de l’électricité (ONE). À Tétouan, c’est la Compagnie éolienne du détroit, un consortium mené par l’électricien EDF, qui a été sélectionnée (une autre entreprise française, Theolia, l’a rachetée en 2008). À Essaouira, c’est l’espagnol Gamesa qui a remporté l’appel d’offres.
    Toutefois, après une décennie d’expérience, le chergui et le bahari, vents venus du Sahara et de l’Atlantique, ne soufflent plus seulement en faveur des entreprises européennes. Lentement mais sûrement, des sociétés locales ont gagné en expertise et se positionnent. Ainsi, Gamesa a été choisi pour l’installation et la maintenance du parc de Tanger, mais c’est l’ONE qui, après une période de formation et de comanagement, en assure l’exploitation.
    Profitant de la construction des grands parcs éoliens, le métallurgiste casablancais Delattre Levivier Maroc (DLM) s’est mis quant à lui à fabriquer des mâts d’éoliennes. Sa nouvelle usine de Tit Mellil, opérationnelle depuis avril 2008, lui donne une capacité de production de 300 pylônes par an, pouvant dépasser les 100 mètres et les 100 tonnes, et intégrant un transformateur électrique.
    Autre société qui monte : Nareva, filiale de l’Omnium nord-africain (ONA) spécialisée dans les énergies renouvelables. C’est elle qui, associée au britannique International Power, a remporté en août l’appel d’offres lancé par l’ONE pour la réalisation du champ éolien de Tarfaya. Ce mégaprojet en BOT, d’un coût de 450 millions d’euros, doit produire 300 MW à l’horizon 2015. Le consortium piloté par Nareva a eu finalement le dessus sur le groupement mené par GDF Suez, qui s’est consolé en rachetant International Power. Avec le projet de Tarfaya dans son escarcelle, Nareva (171 salariés, 332 000 euros de chiffre d’affaires en 2009) se positionne comme la première entreprise marocaine du secteur. C’est Ahmed Nakkouch, ancien directeur général de l’ONE, qui la dirige et se trouve donc en bonne place pour négocier avec l’électricien public. La société devrait aussi répondre à l’appel d’offres de l’ONE pour l’installation du parc éolien de 150 MW de Taza, dans le Rif, lancé le 25 octobre.
    Autoproduction
    Mais Nareva cherche d’autres clients : les industriels qui veulent leurs propres éoliennes. La société a déjà signé l’installation d’hélices pour la Société anonyme marocaine de l’industrie du raffinage (Samir), l’Office national des chemins de fer (ONCF) et l’Office national des aéroports (Onda). Elle est également en négociation avec le sidérurgiste Sonasid et avec Lafarge pour l’extension de son parc.
    « À terme, plus d’une dizaine de grandes entreprises se seront converties à l’autoproduction éolienne », se réjouit Mustapha Enzili, ingénieur en chef à l’Agence nationale pour le développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique (Aderee). « Elle leur permet de sécuriser leurs besoins en énergie à des coûts compétitifs, mais aussi d’améliorer leur image grâce à la réduction d’émission de CO2. » Les particuliers sont séduits à leur tour. Sur ce créneau, des sociétés comme Spolyten, basée à Oujda et qui connaît aussi bien le solaire que l’éolien, ont réalisé plusieurs petites installations mixtes le long de la côte méditerranéenne.
    À l’horizon 2020, le gouvernement prévoit une capacité de 2 000 MW, l’équivalent de deux centrales nucléaires. « Au Maroc, le kWh éolien coûte entre 3 et 5 centimes d’euro, soit le même prix que l’électricité des centrales à charbon, mais quatre fois moins que le solaire », affirme Mustapha Enzili. Un argument convaincant.

    source jeuneafrique.com

    BMCE Bank renforce ses fonds propres

    Augmentation de capital de 500 millions de DH réservée au personnel

    · Souscription du 29 novembre au 6 décembre prochain

    LE groupe bancaire lance une deuxième augmentation de capital cette année, après les 2,5 milliards de DH réservés à la Banque Fédérative du Crédit Mutuel en octobre dernier. Seul le personnel(1) du groupe aura le droit de souscrire à cette nouvelle opération (c’est également la troisième augmentation de capital réservée au personnel après celles de 2003 et 2005). A ce titre, 2,5 millions actions nouvelles (1,5% du capital) seront émises à un prix unitaire de 10 DH assorti d’une prime d’émission de 190 DH. Le montant global de l’opération est de 500 millions de DH. Le prix d’émission de 200 DH intègre une décote de 15% par rapport au prix (235 DH) accordé au Crédit Mutuel CIC et de 25,1% (267 DH) dans le cadre du deal entre BMCE Bank et la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) en mars dernier. La banque avait alors empoché 3,4 milliards de DH suite à la cession de 8% des actions détenues en autocontrôle à la CDG. 

    La souscription à cette offre publique de vente (OPV) est prévue entre les 29 novembre et 06 décembre prochains. Selon la note d’information de l’OPV, «chaque membre du personnel pourra souscrire jusqu’à hauteur de 7 mois de salaire brut». Certaines personnes pourront bénéficier d’un prêt pour souscrire à l’OPV par exemple, à condition de détenir la totalité des actions acquises pendant 3 ans (jusqu’au 19 décembre 2013) et 4 ans pour la moitié, soit jusqu’au 19 décembre 2014. Le montant du crédit sera limité à celui de la souscription définitive. En plus clair, il sera par exemple de 200.000 DH au maximum pour une souscription définitive pour 1.000 actions. Le remboursement s’étalera sur 4 ans à partir du 19 décembre 2010 à un taux fixe de 2,5% TTC par an. L’allongement du délai de remboursement est possible en cas de détention plus longue des actions. L’augmentation de capital renforcera à 6,5 milliards de DH les fonds propres supplémentaires du groupe depuis le début de l’année. Ils passeront de 9,2 milliards de DH au premier semestre 2010 à 12,2 milliards de DH en fin d’année, en tenant compte des deux augmentations de capital. Cette assise financière devrait permettre à BMCE Bank de poursuivre son développement à l’international notamment à travers Bank Of Africa dont elle est devenue actionnaire majoritaire (55%) depuis août dernier. Elle souscrira à une augmentation de capital du groupe BOA pour un montant supérieur à 200 millions de DH. 

    source leconomiste.com

    Le potentiel de croissance du marché marocain des télécoms suscite l'intérêt des investisseurs (La Tribune)

    Le potentiel de croissance du marché marocain des télécoms suscite l'intérêt des investisseurs (La Tribune)
    Paris, 18/11/10- Le potentiel de croissance du marché des télécoms au Maroc intéresse de plus en plus les investisseurs aussi bien locaux qu'étrangers, écrit jeudi le journal français +La Tribune+.
    "D'ici à 2015, le marché marocain des télécoms devrait croître de plus de 3 pc par an pour atteindre 5,7 milliards de dollars. De quoi susciter l'appétit d'investisseurs nationaux et étrangers", souligne le quotidien sous le titre "la concurrence s'aiguise sur le marché marocain des télécoms".

    Pour +La Tribune+, le marché marocain des télécoms, ouvert à la concurrence depuis 2000, "s'apprête à devenir encore plus compétitif", notamment avec l'arrivée de France Télécom en accueillant dans son capital, à hauteur de 40 pc, Méditel, le numéro deux du secteur au Maroc.

    "L'arrivée du géant français stimulera sans doute la concurrence sur un marché de plus en plus considéré comme un exemple régional à suivre en raison de sa complexité et de son niveau de croissance", estime le cabinet d'intelligence économique britannique Oxford Business Group (OBG), spécialiste des économies émergentes, cité par le quotidien.

    Le solde du capital de Méditel demeure détenu par la Caisse de dépô t et de gestion du Maroc et le groupe marocain FinanceCom.

    Méditel partage le marché marocain de télécoms avec l'opérateur historique Maroc Télécom, filiale du groupe français Vivendi, et Inwi, fruit d'un partenariat entre Wana Corporate et Zain, opérateurs marocain et koweitien de télécommunications, rappelle le quotidien.

    Il estime que la nouvelle ébullition que connaît actuellement le secteur "devrait profiter au marché dans son ensemble".

    "Aujourd'hui, 85 pc de la population marocaine est déjà équipée d'un mobile mais ce taux de pénétration devrait atteindre 100 pc en 2013", selon le cabinet de conseil Pyramid Research.

    Le cabinet calcule que les services des télécoms dans le pays pèseront 5,7 milliards de dollars en 2015, et connaîtront d'ici là une croissance annuelle moyenne de 3,1 pc.

    source map.ma

    lundi 22 novembre 2010

    Bancassurance : Léger recul des primes émises

    En 2009, les primes émises bancassurance ont accusé, au titre des opérations vie et capitalisation, un recul de près de 7,5% à 4,15 MMDH contre des accroissements respectifs de 15,4% et 42,2% en 2008 et 2007, alors que le marché dans son ensemble a vu ces opérations progresser de +1,31%. Le rapport des primes « bancassurance » aux émissions totales du marché, au titre de cette branche, s'établit à 62,43% contre 68,33% en 2008 et 66,22% en 2007. La ventilation de ces opérations révèle que les produits capitalisation raflent la vedette en s'accaparant 83,5% des émissions bancassurance "vie et capitalisation", tandis que les produits vie (prévoyance : décès-invalidité adossé à un compte bancaire, facilité de caisse, décès lié à un crédit bancaire) ne représentent que 16,5% avec 780,62 MDH contre 766,67 MDH en 2008.

    Au titre des opérations d'assistance, les primes émises "bancassurance" ne se sont appréciées que de 7,3% à 347,06 MDH, contre +14,4%, en 2008, alors qu'au niveau de l'ensemble du marché, les émissions relatives à cette catégorie se sont accrues de 18,7%, passant de 491,12 MDH en 2008 à 583,13 MDH en 2009. Plus en détail, la part des émissions "assistance" relatives aux souscriptions en agences bancaires continue de régresser. Elle passe de 65,9% des primes totales du marché en 2008 à 59,5% en 2009 (68,5%, en 2007 et 74,5% en 2005). Les ventes de produits d'assistance via d'autres canaux de distribution ont continué à progresser, avec une part de marché de 40,5% contre 34,1% en 2008 (25,5% en 2005).
    Par ailleurs, il convient de souligner que la part des primes émises bancassurance dans le chiffre d'affaires "vie et capitalisation" des assureurs partenaires des banques diffèrent d'une compagnie à une autre. Chez Wafa Assurance, elle se situe à 76,9% contre 85,3% en 2008. A RMA-Watanya, La Marocaine Vie et MCMA, elle est respectivement de 87,3%, 76,6% et 70,95%. Par contre, sa part au niveau de la CNIA, Axa Assurance et Atlanta se limite respectivement à 37,3%, 32,8% et 35,7%.

    Dans ce sillage, Attijariwafa bank est intervenue, en 2009, à hauteur de 70,3% dans le chiffre d'affaires de Wafa Assurance (contre 80,75%, en 2008). BMCE Bank réalise 82,3% du chiffre d'affaires de RMA-Watanya, au lieu de 84,35% un an auparavant). La SGMB a contribué à hauteur de 76,6% dans le chiffre d'affaires "vie et capitalisation" de La Marocaine Vie, contre 66,6% en 2008, et ce compte tenu des émissions générées par les ventes de contrats "vie et capitalisation" aux guichets bancaires ‘SGMB' (souscription pour compte de contrats groupe).
    Sur un autre registre, les établissements bancaires ont perçu des commissions d'apport en progression de 17,2%, sur une année, à 231,81 MDH.

    Les commissions perçues au titre des opérations d'assurances, que les banques sont autorisées à présenter, représentent 34,92% des commissions totales allouées au niveau de l'ensemble du marché (commissions d'un montant de 663,82 MDH, pour ces mêmes opérations). Quant aux commissions bancassurance "vie et capitalisation", elles se sont accrues de 19,09%, et ce malgré le net recul des émissions de la branche.
    A noter que ces commissions représentent 59,05% des commissions totales vie et capitalisation du marché. Pour les opérations d'assistance, le taux de croissance des commissions est de 16,5%. La catégorie "maladie et accidents corporels", elle, fait état d'un retrait des commissions perçues par les banques de l'ordre de 16%, compte tenu de la baisse (-7,9%) des primes émises de la catégorie.

    Concentration

    Attijariwafa bank (AWB) accuse un net recul de sa production (-14,6%), en termes d'émissions (légère baisse de -3,8% pour BMCE Bank), alors que ses commissions enregistrent une forte avancée de prés de 40% (BMCE Bank +5,6%). Par ailleurs, AWB est la seule banque à avoir vu sa part de marché se replier de 46,64% à 42,59%, les autres opérateurs ayant enregistré une appréciation de la leur.

    Le montant global des émissions enregistré par les trois premières banques «intermédiaires d'assurances» (AWB, BMCE Bank et Société Générale) représente 88,09% des primes émises bancassurance, contre 90,14% en 2008. Ces trois banques totalisent, en outre, 73,43% des commissions totales allouées aux établissements bancaires, contre 74,50% en 2008 (Barid Al Maghrib inclus).

    Source lematin.ma

    DISWAY : 60% de hausse depuis janvier et un potentiel de croissance toujours intéressant

    L'action Disway affiche l’une des meilleures performances boursières de cette année. Son cours a en effet atteint 558 DH le 12 novembre, soit une hausse de plus de 60% par rapport à fin 2009. Le titre n’a pourtant pas épuisé tout son potentiel de croissance. Il est toujours recommandé à l’achat, notamment par les analystes de BMCE Capital Bourse qui lui fixe un objectif de cours de 587 DH, soit un potentiel de progression de 5,2% par rapport à son cours du 12 novembre. Les ratios boursiers de Disway s’inscrivent également à des niveaux prometteurs. Son multiple de bénéfice (PER) estimé pour 2010 se situe à 13,5 contre plus de 18 pour le marché, et son rendement de dividende est à 4,3%, supérieur d’un point par rapport à la moyenne de la cote. Mais il faut dire que c’est surtout les perspectives d’évolution de l’activité de la société qui appuient les recommandations favorables des analystes.
    En effet, la fusion entre Matel PC Market (société absorbante) et Distrisoft a permis de faire naître un géant national de la distribution informatique. Cette opération devrait permettre au nouvel ensemble d’atteindre une taille critique afin de mieux attaquer les marchés étrangers. Mais en priorité, Disway se fixe comme objectif la consolidation de la fusion dans le but de dégager le potentiel de synergies envisagées. D’ailleurs, le siège du groupe est en cours d’aménagement pour rassembler les équipes dans un même local.

    En parallèle, le projet de mise en place d’une nouvelle plateforme logistique est en cours de finalisation et devrait permettre de réduire les coûts de stockage et d’améliorer les délais de livraison. L’entrée en service de cette dernière est prévue pour le second semestre 2011 pour un investissement estimé à 25 MDH.

    A moyen terme, Disway compte consolider ses acquis en termes de parts de marché et développer de nouveaux relais de croissance, à la fois en termes de produits, de couverture régionale et de développement de marchés à l’export. Mais dès 2011, l’activité et les résultats du groupe devraient entamer une croissance forte. Les analystes de BMCE Capital tablent en effet sur la réalisation par Disway d’un chiffre d’affaires consolidé de 1,77 milliard de DH en 2010 et de 1,95 milliard en 2011, soit des hausses respectivement de 4,4% et 10,3%. Quant à la capacité bénéficiaire, le résultat net part du groupe devrait s’établir à 77,9 MDH en 2010 et 86,9 MDH en 2011, soit une croissance de respectivement 1,9% et 11,6%.

    Notons que le groupe a réalisé au titre du premier semestre 2010 un chiffre d’affaires consolidé stable par rapport à juin 2009, à 866 MDH, mais a amélioré son résultat d’exploitation de 30%, à 55,8 MDH. Son bénéfice net part du groupe a, lui, marqué le pas pour s’établir à 38,9 MDH.

    source lavieeco.com

    vendredi 19 novembre 2010

    Disway va distribuer les ordinateurs Sony

    Disway, société cotée à la Bourse de Casablanca, annonce avoir signé un contrat de distribution avec Sony. Disway devient ainsi le seul grossiste officiel pour la distribution des ordinateurs portables Sony Vaio au Maroc. A noter que le support et la maintenance des portables Sony Vaio seront assurés par Qualitech, filiale de Disway spécialisée dans la maintenance informatique.

    source infomediaire.ma

    mardi 16 novembre 2010

    MAROC TELECOM : L'indécision domine

    SYNTHESE
    Le MACD est positif mais inférieur à sa ligne de signal. La dynamique en cours est interrompue. Dans le cas où le MACD deviendrait négatif, le repli des cours pourrait se poursuivre. Les indicateurs de puissance, comme le RSI, ne nous donnent pas d'indications particulières à court terme. Les stochastiques, pour leur part, se trouvent dans la zone de surachat, une correction est probable à court terme. Les volumes échangés sont inférieurs à la moyenne des volumes sur les 10 derniers jours.

    MOUVEMENTS ET NIVEAUX
    Le tit re est orienté à la hausse. Il est au-dessus de sa moyenne mobile 50 jours. La moyenne mobile à 20 jours est supérieure à la moyenne mobile à 50 jours. Le support est à 13,07 EUR, puis à 12,95 EUR et la résistance est à 13,86 EUR, puis à 13,97 EUR

    source bourse.lci.fr

    CIH : Acquisition de 34% de Maroc Leasing

    Comme prévu, le Crédit immobilier du Maroc reprendra les participations de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) dans Maroc Leasing.Dernièrement, la CDG est montée à hauteur de 34% dans le capital de la société de leasing, détenant au total 944.102 actions. L’acquisition des parts de CDG par CIH se fera au prix unitaire de 550 DH, soit un montant global de 519,2 millions de DH. L’opération sera conclue avant la fin de l’année.
                                                                                           source leconomiste.com

    Wafa Assurance distinguée

    Wafa Assurance a reçu le trophée de l’innovation 2010 de l’université de l’ONA pour la catégorie «Produits et services». Wafa Assurance s’est distinguée par son service de «centres d’expertise et d’indemnisation rapide Wafa Drive».Ce concept permet à l’assuré, en cas de sinistre automobile, de se présenter sans prise de rendez-vous préalable au centre d’indemnisation, son véhicule est expertisé, les dommages sont évalués et le gestionnaire propose le montant de l’indemnisation, l’assuré sort de Wafa Drive avec le chèque lui permettant de réparer son véhicule. Wafa Assurance dispose aujourd’hui de deux Wafa Drive, le premier situé à Marjane Californie, le second à Marjane Hay Riad et compte ouvrir d’autres centres à travers le Royaume

    source leconomiste.com

    lundi 15 novembre 2010

    En redressement judiciaire, le groupe espagnol Bruesa se désengage du Maroc

    Les 70% du capital qu'il détenait dans Bruesa Africa Construccion ont été rachetés par des investisseurs marocains.
    Karim Mohamed Bouzoubaa, majoritaire, prend la présidence du conseil d'administration

    La crise immobilière en Espagne n’en finit pas de toucher les filiales marocaines des mastodontes espagnols des BTP. Après Fadesa, qui s’est résigné à céder 50% des parts de sa filiale marocaine au groupe Addoha, d’autres qui ont réduit la voilure dans notre pays, c’est au tour de Bruesa Construccion SA, bras armé du groupe espagnol Bruesa dans les métiers du BTP, de se résoudre à se séparer de sa filiale marocaine Bruesa Africa Construccion (BAC). En proie à de graves difficultés financières et déclarée en redressement judiciaire depuis fin juillet 2010, la maison mère espagnole, dont la dette dépasse les 500 millions d’euros (5,5 milliards de DH) pour un chiffre d’affaires à peine supérieur, a dû se départir de plusieurs actifs dont sa participation majoritaire au capital de BAC qu’elle avait créée en 2007 avec un partenaire local avec un capital de 10 MDH. Karim Mohamed Bouzoubaa, le dirigeant de l’entreprise, qui était actionnaire minoritaire jusqu’à récemment, a racheté, en compagnie d’autres investisseurs personnes physiques, les 70 000 actions (70 % du capital) mises en vente par Bruesa Construccion. Corrélativement, il a acquis à lui seul 3 000 actions auprès du Dga, Youssef Mansour, ce qui le propulse au rang de premier actionnaire. Un statut consacré par sa nomination en tant que président d’un conseil d’administration où tous les administrateurs espagnols ont démissionné au préalable, remplacés par des investisseurs locaux.

    Bruesa Africa Construccion devait être une tête de pont sur le continent

    Rappelons qu’entre 2008 et 2009, BAC, qui emploie déjà plus de 100 personnes et qui s’est fait une bonne réputation sur le marché, a gagné plusieurs contrats au Maroc tels les constructions de villas à Mazagan et celui d’une route de 46 km entre Tétouan et Ouad Laou qui fait partie de la nouvelle route côtière prévue entre Al-Jabha et Tétouan sur une longueur de 110 km. L’enveloppe consacrée à ce chantier devant être livrée en 2011 est de 68 millions d’euros (750 MDH). Le groupe Bruesa, fondé en 1979, comptait faire de sa filiale marocaine une tête de pont pour attaquer le marché africain et maghrébin où elle a déjà fait ses premiers pas en Libye. Pour le moment, on sait que le changement d’actionnariat ne devra pas trop perturber la marche de cette structure dont l’effectif et le management étaient déjà à 100% marocains.

    lavieco.com

    Prestigia fait son show à Dubaï

    Les Emirats Arabes Unis est la première étape d'une tournée internationale n 35 000 Marocains y résident dont 2 000 cadres supérieurs.
    D'autres pays, notamment la France et la Belgique, seront visités à partir de janvier 2011.
    Dans l'escarcelle de la société, 8 projets comprenant 28 000 propriétés sur une superficie de 1 700 hectares.

    Vendre au Maroc ne lui suffit plus : Prestigia, marque de haut standing du groupe immobilier Addoha, passe à l’offensive au niveau international. Première étape, Dubaï, aux Emirats Arabe Unis (EAU), du 4 au 6 novembre. L’objectif de cette première opération de séduction, jamais réalisée au plan international par un groupe immobilier marocain, a été de présenter aux hauts cadres marocains, installés dans ce pays, maquettes et argumentaires à l’appui, ses huit projets d’appartements et de villas haut de gamme réalisés ou en cours de réalisation. Parmi les 35 000 Marocains résidant aux EAU, on ne compte en effet pas moins de 2 000 cadres travaillant dans des multinationales et qui appartiennent ainsi aux catégories socioprofessionnelles A et B+.
    Mais ce ne sont pas uniquement ceux-là qui sont visés, le show de Prestigia à Dubaï visait aussi les ressortissants émiratis désirant investir dans l’immobilier de haut standing dans le Royaume et, pourquoi pas, en faire des partenaires à part entière.
    En réalité, il n’y a pas que Dubaï qui est incluse dans la stratégie internationale de Prestigia. Selon Reda Iben Chekroun, directeur central et commercial de cette marque d’Addoha, présent lors de ce périple émirati, une délégation «se déplacera, à partir de janvier 2011, pour commercialiser ce produit dans d’autres pays, notamment en France et en Belgique dans un premier temps». Il précise à cet égard que «beaucoup d’expatriés marocains désirent acheter pour eux ou pour leurs familles, et nombreux comptent y habiter une fois de retour dans leur pays». Le potentiel est donc là. Commencer par Dubaï s’est, en fait, imposé, car la marque a découvert qu’une centaine d’acquéreurs de ce produit depuis le début de sa commercialisation au Maroc en 2009 y ont leurs adresses. Il y a donc une clientèle potentielle dans ce pays.

    Une dizaine de contrats en passe d'être signée

    Le groupe d’Anas Sefrioui ambitionne par son offensive internationale de montrer aux Marocains de l’étranger qu’il a désormais dans son escarcelle un produit de luxe et une nouvelle image de marque à véhiculer, et que le logement social «traditionnellement associé à Addoha, et qui a rencontré un franc succès, n’est plus sa seule spécialité», explique M.Iben Chekroun. Et c’est la raison d’être de la marque Prestigia, créée en février 2009. Aujourd’hui, plusieurs projets de haut standing sont en chantier sous ce label dans différentes villes notamment Tanger, Fès, Rabat, Casablanca et Marrakech. Certains, à l’instar de Ryad Al Andalous à Hay Riad à Rabat, sont déjà finalisés et les livraisons ont même commencé en 2010. D’autres, comme Bouskoura Golf City à Casablanca, Marrakech Golf City et Tanjah Beach & Golf Resort, sont en cours d’achèvement.
    L’assiette foncière dégagée pour l’ensemble de ces projets totalisant 28 000 biens est estimée à 1 700 ha.
    Jusqu’en septembre 2010, Prestigia a vendu 4 000 unités pour un chiffre d’affaires évalué à 11 milliards de DH. De quoi motiver l’équipe commerciale en déplacement à Dubaï, composée des huit directeurs de projet, qui n’ont pas manqué d’arguments lors des deux jours de show-room tenus à Al Jumeirah Beach City pour convaincre les centaines de clients venus sur place (certains d’Abu Dhabi, la capitale, située à 120 km de Dubaï) demander des informations. Ce n’était pas peine perdue. Selon les responsables de Prestigia, une vingtaine d’acquéreurs seraient déjà en passe de signer leur contrat d’achat. «Ce n’est qu’un début, annonce M.Iben Chekroun avec optimisme. Il faut attendre les trois prochains mois pour décrocher des ventes substantielles parce que beaucoup viendront voir sur place, au Maroc, à l’occasion d’aïd Al Adha».

    source lavieeco.com

    Siemens reçoit contrat de plusieurs millions dollars pour équiper la nouvelle installation de production de ciment

    samedi 13 novembre 2010

    Fenie Brossette s’allie à New Holland

     La filiale de Somed aura l’exclusivité de la distribution des engins de la marque

    · L’entreprise ambitionne de prendre 15% des parts de ce marché



    FENIE Brossette affiche de nouvelles ambitions. La filiale du groupe Société Maroc Emirats Arabes Unis de développement (Somed ) vient de conclure un partenariat avec New Holland, filiale de Fiat S.P.A, spécialisée dans la production d’engins de chantier. «Ce partenariat accorde l’exclusivité de distribution des produits de New Holland à Fenie Brossette. Il permettra aussi à l’entreprise de compléter et d’élargir sa gamme de produits pour couvrir les besoins de son portefeuille client notamment dans les travaux publics», souligne Tarafa Marouane, PDG de Somed. Le but étant de détenir 15% des parts de marché des engins de chantier dans les trois ans à venir.
    Avec cette diversification des produits, le poids du matériel BTP dans la structuration de l’entreprise devrait avoisiner 120 millions de DH dans les trois prochaines années. «Ce qui correspondrait aujourd’hui à près de 15% de notre chiffe d’affaires», explique Mohamed Ramdane, directeur général délégué de Fenie Brossette.
    Ce partenariat intervient dans un contexte un peu tendu où le marché des engins de chantiers est constitué à moitié par du matériel d’occasion. «Aujourd’hui, il y a une prise de consciences de l’administration avec l’interdiction du dédouanement des véhicules de plus de 5 ans. La logique voudrait que les engins de travaux publics suivent cette tendance de rajeunissement», note Tarafa Marwane. Autre nouveauté dans ce secteur, un projet de régulation des équipements d’occasion est en cours d’élaboration. Même si ce marché souffre depuis quelque temps d’un flottement, le management de Fenie Brossette mise sur une reprise prévue dès début 2011.
    A rappeler que différents chantiers de BTP ont accusé des retards à cause des intempéries durant le premier trimestre 2010. Ce qui a eu un impact sur le résultat semestriel de Fenie Brossette. Le volume d’affaires à fin juin 2010 a baissé de 6,5% à 320 millions de DH. Mais ce contexte risque de se poursuivre pour le reste de l’année. Il est surtout attribué aux habituels retards dans les chantiers avant et après l’Aïd El Kébir et des éventuelles perturbations météorologiques. Mais, cela ne semble pas inquiéter outre mesure le mangement de Fenie Brossette. «L’activité n’a démarré réellement qu’à partir du deuxième trimestre Mais pour le deuxième semestre, nous tablons sur une performance meilleure que l’année dernière», affirme le PDG de Somed. Dans sa stratégie de développement, Fenie Brossette mise, entre autres, sur les programmes des routes rurales et secondaires auxquels s’ajoutent les projets des villes nouvelles. Bien évidemment, la concrétisation du contrat-programme BTP, encore en gestation, boosterait certainement l’activité de l’entreprise au même titre que ses concurrents.
    Quant à l’éventuelle aventure africaine, évoquée lors de l’introduction de l’entreprise en Bourse en 2006, le mangement se dit prêt à étudier toutes les propositions de partenariat.

    source leconomiste.com

    Attijariwafa bank distinguée par le Forum Crans Montana

    Nouvelle distinction pour Attijariwafa bank. Le groupe vient d’être récompensé par le prestigieux Forum Crans Montana, lors de sa 12e édition, pour «son action en faveur de l’intégration Sud-Sud en Afrique».
    La médaille a été remise à Omar Bounjou, directeur général du groupe lors du Sommet de Genève qui a, récemment, réuni 400 participants de 130 pays. A noter que le Forum de Crans Montana travaille pour la promotion de la coopération internationale. Son objectif: favoriser les meilleures pratiques et assurer un dialogue mondial.

    source leconomiste.com

    Maroc Telecom: Bonne performance trimestrielle

    Sur neuf mois, le chiffre d'affaires de Maroc Télécom a progressé de 2,9 % à données comparables, à 23,7 milliards de dirhams (environ 2,1 milliards d'euros). Le résultat opérationnel s'est amélioré et la marge d'exploitation s'est établie à 44,3 %. L'activité a été bien orientée sur la plupart des zones géographiques. Seul le Gabon a déçu, à cause d'une forte concurrence sur ce marché. L'opérateur marocain a confirmé ses objectifs annuels : légère croissance des recettes et rentabilité élevée


    source jdf.com

    La CDG détient près de 34 pc du capital de Maroc Leasing

    Le CDVM annonce que la CDG a acquis plus 60 000 actions Maroc Leasing
    La Caisse de dépôt et de gestion (CDG) a acquis sur le marché central 61.606 actions Maroc Leasing, pour atteindre 33,97 pc du capital de la société, a annoncé le Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM).


    La CDG a déclaré jeudi 11 novembre avoir acquis 61.606 actions Maroc Leasing, au cours unitaire de 580 DH, franchissant à la hausse le seuil de participation de 33,33 pc de son capital, précise un communiqué du CDVM.

    Suite à cette transaction, la CDG a détenu 943.332 actions Maroc Leasing, soit 33,97 pc du capital de Maroc Leasing, et envisage d'arrêter ses achats sur cette valeur dans les 12 mois qui suivent le franchissement du seuil précité, ajoute la même source.


    Source : La vie éco

    Risma lance une émission d’obligations remboursables en actions

    Risma, premier opérateur touristique du Maroc, qui gère les enseignes du géant mondial Accor sur le territoire marocain, à savoir Sofitel, Novotel, Ibis, Mercure, M Gallery, …, avec 7% de parts de marché des nuitées et 5% des parts de marché en termes de capacités, poursuit son ambitieuse stratégie d’investissements. Aujourd’hui, il émet sur le marché un emprunt d’obligations remboursables en actions (ORA) de 346.222.500 dh, afin de renforcer ses capitaux permanents.

    Pour accompagner l’ambitieux plan d’investissement, mené depuis une décennie, notamment avec la finalisation, à l’horizon2013, des chantiers Ibis Tanger centre, Sofitel Casablanca City Center, Sofitel Atlantic Agadir, rénovation du Sofitel Marrakech, …, Risma émet sur le marché des obligations remboursables en actions (ORA). L’opération portera sur un maximum de 346.222.500 DH et ce sur la base d’une valeur nominale de 100 DH et d’un nombre d’ORA de 3.462.225. Des droits préférentiels de souscription, tant à titre irréductible que réductible, seront attribués aux actionnaires de la Société, précise-t-on. Mais la souscription concerne aussi tous les détenteurs de droits préférentiels.


    Date de jouissance au 24 décembre


    L’ouverture de la période de souscription et cotation des droits de souscription se fera à la Bourse des Valeurs de Casablanca (BVC) à la séance du 11 novembre. A noter que le 15 décembre, les droits de souscription seront radiés, juste après la clôture de la période de souscription, le 14 décembre. Les résultats de l’opération seront reçus le 22 décembre à la BVC, et le 24 décembre marquera le début de la cotation des titres (date de jouissance), ainsi que la publication des résultats détaillés de l’opération au bulletin de la cote. La fiche technique de cette opération révèle que le taux d’intérêt nominal sur les titres sera de 5,5% et les intérêts seront servis annuellement sur la base d’une année de trois cent soixante cinq (365) jours, à chaque date anniversaire de la date de jouissance des ORA ou le premier jour ouvrable de bourse suivant cette date si celle-ci n’est pas un jour ouvrable de bourse. A noter qu’aux dates de remboursement des ORA, les intérêts dus au titre de l’année de remboursement seront payés au prorata temporis. Afin de positionner l’opération, les analystes situent la prime de risque de Risma est de 178 pb par rapport au taux sans risque, soit 3,72%, (déterminé par référence à la valeur de marché des Bons du Trésor de maturité 2 ans et 9 mois, obtenue par interpolation linéaire sur la courbe des taux diffusée par Bank Al Maghrib le 18 octobre 2010).

    source africatime.com

    Risma, un parcours boursier marqué par sa politique d’investissement

    Le titre boursier s’est apprécié de 18,33 % depuis l’introduction en bourse de la valeur en 2006. Politique d’investissement, résultats non conformes aux prévisions et conjoncture boursière difficile ont marqué l’évolution de l’action depuis sa cotation. Introduite en Bourse en mai 2006 au cours unitaire de 240 dirhams, l’action Risma était assurée d’un bel avenir tant l’OPV a été une belle réussite, l’opération ayant été sursouscrite 24 fois.

    Toutefois, l’action Risma a connu depuis son introduction en Bourse une évolution en dents de scie tout en s’inscrivant dans un canal baissier. D’abord, dans une première phase, le titre s’est inscrit dans un mouvement haussier grâce, entre autres, au succès de l’introduction en Bourse et à la bonne orientation du marché boursier, culminant à un niveau historique de 449 dirhams en 2007.

    Le cours moyen du titre s’est établi à 411 dirhams sur l’année 2007 profitant de la forte progression du marché (hausse de 34 % du MASI). Toutefois, face à des résultats en deçà des prévisions du business plan accentués par une conjoncture boursière marquée par la crise, le titre a pris une tendance baissière avec un cours moyen pondéré de 370 dirhams en 2008 avec un plancher enregistré en mai 2009 à 213 dirhams l’action. La conjoncture boursière n’explique pas à elle seule cette baisse de l’action. La dépréciation du titre au cours de ces trois dernières années s’explique surtout par des réalisations en deçà des prévisions du business plan.

    Or, avant son introduction en bourse la société a toujours été déficitaire (exception pour l’année 2005 où le bénéfice a été de seulement 0,7 MDH), raison essentielle pour les investisseurs, dont les 15 000 personnes physiques. Mais, malheureusement, les résultats financiers n’ont pas été au rendez-vous. A titre d’illustration, après avoir réalisé des résultats nets parts du groupe de 48 MDH en 2007 et 29 MDH en 2008, Risma réalise en 2009 un chiffre d’affaires de 924,63 MDH pour un déficit de 149 MDH expliqué par l’acquisition de l’es-Hilton et sa fermeture pour travaux. Toutefois, si Risma n’a pas atteint les objectifs financiers qu’il s’est fixé, c’est en grande partie du fait qu’un accent particulier a été mis sur l’investissement et l’accroissement du parc hôtelier afin d’atteindre une taille critique. Ainsi, depuis sa création en 1993, Risma n’a cessé de développer sa voilure en prenant d’abord le contrôle de la chaine Moussafir avant de poursuivre son développement avec de nouvelles acquisitions et la réalisation de nouvelles unités hôtelières dont celles du Casa City Center qui ont porté le parc du fonds d’investissement à 27 unités aujourd’hui.

    Or, ce développement à un coût énorme. Plus de 1,5 milliards de dirhams ont été investis depuis l’introduction en Bourse. Du coup, les bénéfices comptables de Risma ont été absorbés au cours de ces dernières années par les importants amortissements liés aux investissements. C’est donc, cette absence de bénéfices qui a handicapé le cours de l’action et a fini également par « agacer » les investisseurs institutionnels marocains qui ont compagne Risma depuis 1999 dont BMCE Bank, CFG Group, Mamda/MCMA et RMA Watanya. Risma a fini par adopter une nouvelle organisation avec directoire. En conséquence, Risma donne aujourd’hui, plus de visibilité .

    La taille critique atteinte par Risma qui devrait compter une quarantaine d’unités hôtelière d’ici 2013, l’arrivée à maturité de plusieurs unités du fonds devraient se traduire par une nette amélioration des résultats financiers. Le management table sur un doublement du chiffre d’affaires d’ici 4 ans, la réalisation d’une marge nette de 15 % et l’accélération de la rémunération des actionnaires qui n’ont que longtemps attendus. Enfin, cette nouvelle visibilité sur les résultats futurs de la société, la mise en place d’une nouvelle organisation, la nomination d’un nouveau directoire et le ralentissement du rythme de développement du parc hôtelier et donc des investissements ont redonné confiance aux investisseurs. Laquelle confiance se traduit par un cours boursier haussier affichant une progression de 12 % à 284 dirhams (cours du mardi 9 novembre 2010) au titre de l’année en cours

    source lanouvelletribune.com

    jeudi 11 novembre 2010

    BNP Paribas lance « Home Cash », un nouveau service pour le transfert d’argent au Maroc

    propose en collaboration avec sa filiale marocaine BMCI un nouveau service « Home Cash » dédié au transfert express d’argent entre la France et le Maroc.

    « Home Cash » permet un transfert d’argent immédiat, à un tarif avantageux (3 euros quel que soit le montant du transfert), d’un compte en France vers une carte prépayée au Maroc, sans que le bénéficiaire ait besoin de détenir un compte.

    Afin de pouvoir utiliser ce service, le bénéficiaire doit préalablement souscrire une carte « Home Cash » auprès d’une agence BMCI au Maroc. Cette carte est utilisable dans les distributeurs et les agences BMCI et a une durée de validité de deux ans, renouvelable sur demande.

    Le principe est simple :

    Le donneur d’ordre se rend dans son agence en France pour effectuer un virement Home Cash (jusqu’à 3 100 euros par jour et par compte). Les fonds sont instantanément crédités sur la carte Home Cash au Maroc.

    Le bénéficiaire de cette carte peut ainsi retirer les fonds dans tous les distributeurs de billets de la BMCI (24h/24 et 7j/7 dans la limite de 15 000 Dirhams marocains (soit environ 1500 euros) par jour ou en agence (selon les conditions tarifaires de la BMCI). La carte peut recevoir jusqu’à 150 000 Dirhams marocains, soit environ 15 000 euros.

    Depuis plusieurs années, BNP Paribas a développé une offre globale destinée aux clients gardant des attaches fortes avec leur pays d’origine, en collaboration avec ses filiales BMCI au Maroc, UBCI en Tunisie et BNP Paribas El Djazaïr en Algérie. L’objectif est de renforcer la satisfaction des clients sur les deux rives de la Méditerranée, en répondant à leurs besoins spécifiques (ouverture de compte facilitée, transfert d’argent, assistance dédiée comme le rapatriement de corps…).

    Cette offre de transfert d’argent s’appuie sur une plateforme du prestataire TSYS, qui a été retenu par BNP Paribas pour développer une offre multi-canal, multi-pays et multi-produits.
    Cette nouvelle offre, lancée en collaboration avec la BMCI au Maroc, sera par la suite développée entre d’autres réseaux du Groupe BNP Paribas : depuis la France, la Belgique, l’Italie… vers le Maroc, la Tunisie, la Turquie…

    mardi 9 novembre 2010

    Maroc Telecom : 23,71 milliards de DH en neuf mois

    Si le marché local est toujours porteur de croissance, la contribution des filiales du groupe en Afrique est de plus en plus importante.
    Tout en continuant à défendre son leadership au niveau national, Maroc Telecom (IAM) tire davantage profit de sa présence sur le marché africain. Les résultats consolidés du groupe au terme du 3e trimestre de l'année en cours le mettent bien en évidence, comme le souligne, dans un communiqué, Abdeslam Ahizoune, président du Directoire du groupe. «Sur les neuf premiers mois de l'année 2010, le groupe Maroc Telecom continue de faire croître de manière significative ses revenus, tout en conservant des marges élevées.

    Dans un contexte de concurrence intense, le groupe (..) préserve son leadership avec succès, grâce à la qualité de ses produits et services portée par ses investissements soutenus au Maroc et dans les filiales», a-t-il déclaré.

    Ainsi, à fin septembre dernier, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires (CA) consolidé de 23,71 milliards de DH (MMDH), en progression de 5,8% par rapport à 2009 (+2,9% sur une base comparable). Il est à noter qu'au 30 septembre 2010, IAM consolide dans ses comptes les groupes Mauritel, Onatel, Gabon Télécom et Sotelma et que depuis fin juin dernier, Mobisud Belgique n'est plus consolidé dans les comptes du groupe. Pour le 3e trimestre, à lui seul, l'activité du groupe a généré un CA de 8,24 MMDH, en hausse de 5,2% par rapport à 2009 (+4,4% sur une base comparable).

    Si le marché local est toujours porteur de croissance, la contribution des filiales du groupe en Afrique est de plus en plus importante, réalisant un rythme de progression plus élevé. Cette performance est visible selon les différents indicateurs.

    Il en est ainsi du parc des clients du groupe qui se chiffre à fin septembre à 25,1 millions, en progression de 17,3%. «Cette évolution s'explique par une croissance toujours soutenue du parc mobile au Maroc, +9,8%, et surtout dans les filiales en Afrique, où il s'établit à près de 6,3 millions de clients mobiles, en hausse de près de 58% par rapport à fin septembre 2009», a-t-on expliqué dans le même communiqué.

    L'analyse des performances globales du groupe fait ressortir qu'à fin septembre, le résultat opérationnel avant amortissements (EBITDA) a atteint 13,98 MMDH, en hausse de 5,1% par rapport à 2009 (+4,2% sur une base comparable). Ce qui s'est traduit par une marge élevée, située à 59%, suite à l'amélioration des revenus et à la poursuite de l'optimisation des coûts au Maroc et dans les filiales.
    Pour le résultat opérationnel (EBITA), il s'est élevé à 10,5 MMDH, en accroissement de 3,5% par rapport à 2009 (+4,1% sur une base comparable). De ce fait, la marge sur résultat opérationnel se situe à 44,3% (+0,5 pt sur une base comparable), «malgré la hausse des amortissements consécutive à la poursuite d'un important programme d'investissements».

    Pour le 3e trimestre, à lui seul, le résultat opérationnel (RO) consolidé s'est chiffré à 3,83 MMDH, en progression de 6,6% (+6,8% sur une base comparable) par rapport à 2009, soit une amélioration de 1,1 pt de la marge opérationnelle sur une base comparable, à 46,6%.
    L'analyse de ses résultats par pays montre que le groupe a tiré de ses activités au Maroc un CA net de 19.61 MMDH, en augmentation de 1,9% et un RO se chiffrant à 9,64 MMDH, croissant de 0,9%.

    Cette performance est due notamment au segment du mobile qui a réalisé un CA brut de 14,75 MMDH, en hausse de 5,2%, grâce, explique-t-on, à l'accroissement du parc, au maintien de l'ARPU à un niveau élevé et à l'augmentation du revenu entrant international. Le RO s'élève à 7,63 MMDH, en amélioration de 9,9% avec «la croissance du CA, à l'optimisation du prix d'achat des terminaux et à la baisse du prix des liaisons louées par le Fixe de Maroc Telecom au réseau Mobile».

    Mobile et fixe
    A fin septembre, la base des clients du segment du mobile d'IAM atteint 16,74 millions, en progression de 9,8%. Le postpayé a progressé de 12,3%, dépassant 751.000 clients. Le nombre de clients de l'Internet mobile 3G avoisine 435.000, au 30 septembre. Avec cette montée en puissance de l'Internet Mobile 3G et la croissance des volumes de SMS et des autres services à valeur ajoutée, le CA récurrent mobile non-voix s'améliore de 36% à fin septembre, représentant 11,2% de la facture moyenne, contre 8,6% une année plus tôt.
    Le CA brut du fixe et Internet au Maroc est de 6.4 MMDH, en baisse de 8,9%, et le RO a reculé de 23,1% à près de 2,01 MMDH. Le parc fixe d'IAM s'établit à 1,227 million de lignes, en baisse de 3,3%.

    Filiales africaines
    En Mauritanie, IAM a réalisé un CA net de 894 MDH, en progression de 6,9%. L'opérateur y possède un parc mobile de 1.578 millions de clients, 41.000 de lignes fixes et 7.000 abonnés.

    Au Burkina Faso, l'opérateur a réalisé un CA net de 1,36 MMDH, en hausse de 9%. Le parc mobile est de 2,122 millions, le fixe s'élève à plus de 155.000 lignes et les abonnés Internet plus de 25.000.

    Au Gabon, le CA net est de 787 MDH, en baisse de 9%. Le parc mobile est de 631.000 clients.

    Au Mali, le CA net généré est de 1,12 MMDH, les parcs s'établissent à près de 1,959 million de clients pour le mobile, plus de 74.000 pour le fixe et plus de 16.000 pour l'Internet.

    source lematin.ma

    Bourse: Séance calme

    Légère hausse des indices à la clôture de la première séance de la semaine. Le baromètre de toutes les valeurs s’apprécie de 0,28% à 12.263,41 points. De son côté, l’agrégat des valeurs les plus liquides se bonifie de 0,29% à 10.020,85 points. En conséquence, leurs performances annuelles s’améliorent à 17,42% pour le Masi et 18,39% pour le Madex. Dans la foulée, la capitalisation s’élargit à 554 milliards de DH.
    Côté variations, Zellidja enregistre la plus forte hausse du marché. Elle se bonifie de 4,06% à 1.000 DH. Société Cherifienne d’engrais s’apprécie de 3,79% à 301 DH. Dans des proportions similaires, Berliet Maroc gagne 3,68% à 224 DH. CIH progresse de 3,13% à 330 DH. Holcim enregistre une hausse de 2,98% à 2.729 DH.
    A l’inverse, Mediaco Maroc se contracte de 5,81% à 136,1 DH. Promopharm suit la même tendance avec une contre-performance de 4% à 816 DH. Maghreb Oxygène recule de 3,89% à 247 DH. Ciments du Maroc se replie de 3,06% à 1.202 DH. HPS limite sa baisse à 2,53% à 848 DH.
    Au niveau de la physionomie, le marché a traité 55 valeurs parmi lesquelles 24 sont en hausse, 23 en recul et 8 stagnent. Dans ces conditions, le volume d’affaires se hisse à 302 millions de DH, réalisés essentiellement sur le marché central. Maroc Leasing enregistre le plus gros flux transactionnel de la séance avec 74 millions de DH. IAM et Attijariwafa bank ont drainé respectivement 47 et 41 millions de DH.
    source leconomiste.com