jeudi 29 septembre 2011

Holcim peine à vendre son ciment

Les résultats semestriels de Holcim Maroc confirment que le groupe a fortement pâti de l’arrivée d’un nouvel acteur responsable d’une surcapacité de production.


Holcim n’a pas profité de l’évolution du secteur du ciment durant le premier semestre de cette année. A la surprise générale, l’évolution du cimentier a juste atteint 7,2%. Telle est la conclusion que l’on pourrait tirer des résultats de la société, rendus publics lors d’une conférence de presse tenue jeudi à Casablanca. Le cimentier a vu se replier ses résultats semestriels. Ses revenus ont ainsi reculé de 2 à 1,8 million de dirhams. Cette contreperformance est essentiellement due à «l’arrivée d’un nouvel acteur qui a provoqué une surcapacité de production de 25% (soit 4 millions de tonnes de capacité supplémentaire)», souligne Dominique Drouet, président du directoire de Holcim Maroc. Suite à l’entrée sur le marché de Ciments de l’Atlas, la société a vu ses volumes de ventes «Ciments»  à fin juin se réduire de 11% à 1,7 million de tonnes contre 2 millions à fin juin 2010.
Sur le volet opérationnel, le cimentier affiche un résultat d’exploitation de 590 millions de dirhams, soit un recul de 22,6% par rapport à la même période de l’année dernière sous l’effet de la baisse  du volume des  ventes  «Ciments», combinée à la hausse des prix du pétrole à l’international. «A noter que les coûts du Petcock (dérivé du pétrole) représentent 40% des charges variables de l’industrie cimentière», précise Dominique Drouet lors de la conférence de presse. Les achats consommés sont, ainsi, passés de 907,5 à 940,3 millions de dirhams, soit un additionnel de 32,8 millions de dirhams. Dans ce sens, la marge opérationnelle ressort à 33 %, contre 39 % à fin juin 2010, avec une perte de 6 points.
Les analystes moins optimistes
Toujours négatif, le résultat financier réduit toutefois ses pertes à 17,6 millions de dirhams contre les 29,1 millions de dirhams cumulés une année auparavant. Le résultat non courant, lui, ressort bénéficiaire et se fixe à 4,2 millions dirhams contre -11,4 millions de dirhams sur la même période en 2010. Le résultat net de Holcim Maroc, à fin juin, en ressort conséquemment en fléchissement de 15,8 % et s’établit à 413,5 millions de dirhams contre 491,6 millions de dirhams à fin juin 2010. Ce résultat demeure essentiellement impacté par les effets de la baisse des volumes des  ventes due à un marché excessivement sur-capacitaire ainsi que par la hausse des prix internationaux de pétrole. La marge nette se fixe, en conséquence,  à 21% contre 22 une année auparavant, marquant ainsi un léger repli de 1 point. Pour sa part le résultat net part du groupe s’est réduit de 12,3% à 374,8 millions de dirhams.
Les analystes se montrent plutôt moins optimistes quant aux performances futures du cimentier qui devrait concéder davantage en termes de parts de marché.
En termes de perspectives, le groupe cimentier semble optimiste quant à ses réalisations 2011 et table sur une reprise du secteur de l’ordre de 4% pour l’année en cours. Par ailleurs, le groupe entend poursuivre le développement de ses deux filiales Batipro et Ecoval ainsi que la finalisation au terme du premier semestre 2012 de son projet de Fès. De leur côté, les analystes se montrent plutôt moins optimistes quant aux performances futures du cimentier qui devrait concéder davantage en termes de parts de marché. La flambée des prix qui pourrait se poursuivre sur  la seconde moitié de l’année devrait également peser de façon considérable sur les marges de la société. En effet, «La consommation de combustible comme le coke qui est un dérivé du pétrole reste plutôt coûteuse et le prix varie en fonction du cours du brut qui semble poursuivre son avancée», nous explique un analyste financier. En tout état de cause, ces éléments laissent présager, pour Holcim Maroc, des réalisations 2011 à l’image de ses résultats semestriels.
source http://www.lesoir-echos.com/2011/09/25/holcim-peine-a-vendre-son-ciment/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+LeSoirEchos+%28Le+Soir+Echos%29

Delattre Levivier Maroc porté par la croissance


L’année 2011 se profile sous de bons auspices pour le spécialiste de gros œuvres industriels Delattre Levivier Maroc (DLM). En plus des bons résultats affichés au terme du premier semestre de l’année en cours, en hausse de 21,1 % pour l’exploitation et de 6,5 % pour la capacité bénéficiaire, le second semestre devrait également s’inscrire dans le même trend.
Eric Cecconello, administrateur directeur général de Delattre Levivier Maroc a en effet précisé hier, lors d’un point de presse, que «la production devrait atteindre 640 millions de DH d’ici la fin d’année». Cette amélioration conjuguée à des coûts stables, ne pourrait qu’aboutir à des résultats en progression. Sur le plus long terme, la société dispose d’un carnet de commandes assez balisé et dont le montant s’élève à ce jour à 1,28 milliard de DH. «Ce dernier représente deux années de chiffres d’affaires», précise Eric Cecconello.
En plus de l’aspect commercial, d’autres éléments pourront améliorer la rentabilité de DLM. A leur tête, la possibilité de s’approvisionner en acier spécial au niveau d’un opérateur local au lieu de l’importer de l’étranger. Cet opérateur n’est autre que Maghreb Steel. Ce dernier envisage de commencer la production de nouveaux types d’acier d’ici six à neuf mois. Pour DLM, cette nouvelle mesure du producteur national constitue une opportunité à même de réduire ses coûts de production. La structure de ces derniers serait en fait amenée à être modifiée, en conséquence DLM ne supportera plus directement les coûts de transport ou encore les risques liés à la variation du taux de change.
«Toutefois, étant donné que les prix de commercialisation de Maghreb Steel ne sont pas encore fixés, il est un peu prématuré de mesurer l’impact réel sur les coûts de production», tempère Cecconello. Sur le plan opérationnel, le regroupement des différentes usines de la société sur un même site de production, notamment à Tit Mellil, lui permettrait d’augmenter sa production de 30 %.
Nouveau business plan
Par ailleurs, au niveau de l’activité internationale, qui prend de plus en plus d’ampleur (24% du chiffre d’affaires à fin juin 2011), la succursale implantée au Sénégal, connaîtra une transformation de son statut pour devenir une filiale. L’ambition de cette dernière est de chapeauter l’activité de Delattre en Afrique de l’Ouest. De même, la société s’est dotée d’une nouvelle succursale en France afin de couvrir ses activités en Europe. Les revenus de cette succursale apparaîtront, au niveau des comptes, à partir du second semestre de l’année en cours.
Quant aux perspectives par secteur d’activités, DLM ne table plus sur le ciment du moins sur le marché marocain. «Ce dernier atteignant le niveau de surcapacité, il est donc difficile de voir de nouveaux projets de construction au cours des deux prochaines années», souligne le directeur général de DLM. C’est surtout à l’international et particulièrement en Afrique que le potentiel est encore important notamment au Bénin et en Côte d’Ivoire.
En ce qui concerne les mines et chimie, la société compte s’accaparer une part importante dans le programme d’investissement sur quatre années, lancé par l’OCP, son client de longue date. Côté export, DLM mise surtout sur le potentiel d’investissement dans les gisements de fer en Mauritanie estimé à 15 milliards de dollars, ainsi que les mines d’or dans ce pays et au Sénégal. L’activité pétrole et gaz, en revanche, devra profiter de la relance des chantiers de construction de terminaux de stockage au Maroc.
L’énergie, quant à elle, avance à des pas mitigés. Au moment où l’éolien peine à décoller, le solaire avance de manière plus structurée. Le management demeure donc confiant en l’avenir et envisage de dévoiler un nouveau programme d’investissement couvrant la période 2012-2015 dans les mois qui viennent. Bon vent !
source 
http://www.lesoir-echos.com/2011/09/28/delattre-levivier-maroc-porte-par-la-croissance/

jeudi 15 septembre 2011

Réorganisation du pôle crédit conso de la BMCI


Le groupe bancaire français BNP Paribas est l'actionnaire de référence de la BMCI, Banque Marocaine de Commerce International.

Sous l'appellation BMCI Crédit Conso, le groupe vient de réorganiser son pôle crédit consommation en réalisant une opération de fusion absorption incluant la maison Cetelem Maroc et le groupe de crédit BNP Paribas Personal Finance.Depuis 15 ans, Cetelem Maroc, partenaires des grandes enseignes de la distribution, exerce son activité d'organisme prêteur sur le marché du crédit à la consommation - prêt personnel, prêt auto/moto, prêt travaux, crédit aux fonctionnaires et aux salariés d'entreprises, crédit renouvelable.Au Maroc, comme en France, le crédit à la consommation est la deuxième source d'endettement des ménages, après le crédit immobilier.Le produit net bancaire consolidé de la Banque Marocaine de Commerce International en 2010 a été de 177 millions d'euros, en hausse de 8 % par rapport à l'année précédente avec un résultat net consolidé de 71,3 millions d'euros.

source http://www.credit-conso.org

mardi 13 septembre 2011

Cartier Saada : Investissement de 27 millions DH pour augmenter les capacités de stockage et de production

 Le management de Cartier Saada annonce, dans un message parvenu à l’Infomédiaire, que la société cotée à la Bourse de Casablanca a soumis un projet de développement à la 3ème édition du programme Imtiaz. L’investissement consiste à augmenter les capacités de stockage et de production de l’entreprise pour une enveloppe globale de 27 millions DH (MDH). Le projet a été retenu par le Comité Public Privé du programme Imtiaz et bénéficiera donc d’une subvention du Programme Imtiaz de l’ordre de 5 MDH. Le reste du financement proviendra d’une augmentation de capital par incorporation des réserves de 5,85 DH, décidée par l’Assemblée Générale Mixte tenue le 06 Septembre dernier, et un emprunt à moyen terme d’environ 16 millions DH.


source infomedaire.ma

lundi 12 septembre 2011

Veolia recule au Cameroun, la coopération Sud-Sud est en marche


De nouveaux acteurs apparaissent sur l’échiquier du marché international de l’eau. Il y a 3 ans Veolia et la SAUR ont dû faire face à l’apparition d’une concurrence africaine…
logo camerounaise des eauxNous avons tous en tête l’image des entreprises françaises, championnes de la distribution privée d’eau au niveau mondial : Veolia Environnement, la Lyonnaise des eaux-Suez, et la SAUR. Ces 3 groupes représentent 40% du marché mondial de l’eau. Pour s’étendre, ces 3 entreprisesadoptent plusieurs stratégies. Tout d’abord elles « volent au secours »des villes qui n’ont pas suffisamment anticipé l’augmentation de la demande en eau. Ensuite, elles peuvent racheter des compagnies privées dans les différents pays, ou encore bien que concurrentes, elles peuvent décider de coopérer afin de répondre à de grands appels d’offres.
En 2007, un consortium marocain constitué de l’ONEP (Office National de l’Eau Potable du Maroc), de Delta Holding, d’Ingema et de Med-Z a remporté contrat d’affermage pour la production et la commercialisation d’eau potable au Cameroundans 105 communes sur 10 ans aux dépens des entreprises françaises. Elle avait remporté son premier contrat à l’international de 220 millions de dollars, un an auparavant en Mauritanie, toujours face à des compagnies françaises. D’après Mounir ZOUGGARI, directeur de l’ONEP, le succès provient du partenariat public-privé mis en place : la partie privé marocaine La Camerounaise des Eaux, et la partie publique la Cameroon Water Utilities Corporation. Le consortium a également su proposer un package complet : la production et la distribution de l’eau par l’ONEP, l’ingénierie par Ingema et les travaux par Delta Holding. Monsieur ZOUGGARI ajoute même que le fait qu’il représente une entreprise africaine a certainement pesé dans la décision des Camerounais.
Pour Veolia, c’est le prix de l’eau proposé par les Marocains, bien inférieur à celui des Français, qui leur a donné la victoire. Ce prix serait inférieur au prix de production pratiqué par l’ONEP au Maroc. L’entreprise française souhaite « observer » et voir si ce prix sera maintenu sur les 10 ans du contrat. Paradoxe, la distribution d’eau auMaroc dans la capitale Rabat est assurée par Redal, à Tanger et Tétouan par Armendis, deux filiales de Veolia.
Quel bilan 3 ans plus tard ? Le transfert des services de production, de distribution d’eau entre les entreprises camerounaise et marocaine est sur la bonne voie, de même que les travaux sur les infrastructures. Alors, est-ce le début de la fin de la suprématie française dans le secteur de l’eau ? Certainement pas, mais cet exemple montre que des « émergeants » apparaissent sur le marché de l’eau, et qu’il serait imprudent de les ignorer. Dans cette histoire le grand gagnant est peut-être le Cameroun qui se retrouve à pouvoir multiplier ses choix de partenaires.
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juillet et août n'ont pas connu les habituelles hausses de la demande

Les MRE qui constituent la principale clientèle durant cette période se sont peu manifestés. L'essentiel de la demande a porté sur le logement social. La nouvelle génération de MRE cherche des logements dans une optique d'investissement, et pas forcément au Maroc.



L a période estivale, habituellement très porteuse pour le secteur de l’immobilier en raison de l’afflux des MRE, a été mitigée cette année. «Nous n’avons pas encore dressé le bilan pour les mois de juillet et août, mais ça ne s’annonce pas bien», se désole Rachid Jamai, président du groupe éponyme. Celui-ci met tous les types de standing dans le même panier. Pourtant, plusieurs professionnels s’accordent à dire que le logement social a réussi à tirer son épingle du jeu. «Les ventes de logements sociaux et intermédiaires se sont bien comportées sur les dernières semaines», assure Karim Belmâachi, DG du groupe Alliances, qui vient de lancer la commercialisation de programmes de logements sociaux dans la région du Nord.

Addoha : 150 logements vendus par jour au cours de Ramadan

En revanche, M. Belmâachi confirme bien que l’activité est nettement plus calme pour les autres segments, excepté dans certaines villes, notamment Rabat et Casablanca, où les ventes dans le haut standing sont, selon lui, à des niveaux satisfaisants.
Même son de cloche chez le groupe Addoha où l’on assure suivre une cadence de 150 logements sociaux vendus par jour depuis le début du Ramadan, avec des carnets de commandes qui ont fait le plein jusqu’en 2013.
Selon Addoha et Alliances, en plus d’une demande locale déjà dynamique, le social profite également cet été de la demande des MRE qui optent majoritairement pour ce segment. Néanmoins, cet effet ne profite pas équitablement à toutes les villes du Royaume. Tanger et Marrakech, par exemple, semblent être exclues. Pour la première, «la demande exprimée par les MRE durant cet été est quasi nulle», assure Abdelhai Sbai de Sbai Immobilier. «Au lieu d’acheter de nouveaux logements, certains MRE sont venus récupérer leur avance versée dans le cadre d’achats sur plan», renchérit le promoteur qui rattache cette atonie au fait que Tanger est surtout prisée des MRE provenant d’Espagne, un pays en proie à une sévère morosité économique.
Pour sa part, Noredine Belbachir, directeur associé au sein de l’agence immobilière Marrakech Connexion, informe que le mois de Ramadan a tronqué la période estivale qui a donc connu très peu de transactions. «La demande des MRE qui s’est manifestée en juillet a surtout porté sur les locations saisonnières», fait savoir le responsable qui s’inquiète de ne toujours pas voir la reprise des transactions se profiler pour septembre.

Les promoteurs vont maintenant chercher les MRE dans leurs pays d’implantation

Plus globalement, certains promoteurs ont de moins en moins tendance à anticiper un pic d’activité en été avec l’arrivée des MRE. «Cette clientèle continue à s’intéresser à l’investissement immobilier lors de ces semaines de vacances, mais pas uniquement pendant cette période», note-t-on à ce titre au sein d’Addoha. «La première génération de MRE, qui a largement contribué à doper les transactions du secteur sur les dernières années en acquérant systématiquement des biens au Maroc, cède de plus en plus la place à la deuxième génération», observe M. Jamai. Celle-ci, dont le rôle est de plus en plus déterminant dans la décision d’achat, cherche des logements dans une optique d’investissement et compare les offres de plusieurs pays avant de se décider.
C’est d’ailleurs conscient du fait que la clientèle des MRE n’est plus acquise, que les majors de la promotion immobilière ont changé leur fusil d’épaule. De fait, les salons et foires professionnels dans plusieurs villes europeénnes sont de plus en plus mis à profit comme des vitrines stratégiques par les opérateurs nationaux pour se rapprocher des MRE. Plus que cela, les promoteurs multiplient les implantations à l’étranger. Le Groupe Alliances, à travers sa filiale internationale, inaugurait en juin dernier à Paris un nouveau showroom dédié aux logements sociaux et intermédiaires, qui s’ajoute à un autre showroom pour les projets de haut-standing. Sur la même voie, Addoha a réalisé fin 2010 et en mai dernier ses premières opérations promotionnelles à Dubaï pour appâter la clientèle de MRE dans ce pays. En juin 2011 encore, la filiale haut standing du groupe, Prestigia, tenait un événement similaire à Paris. Les retombées commerciales de cette seule manifestation se sont chiffrées pour le groupe à 60 MDH pour
une trentaine de logements de luxe écoulés.
Réda Harmak. La Vie éco

vendredi 9 septembre 2011

Six banques nominées pour le prix du banquier africain 2011


En marge des assemblées générales de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Washington, le magazine African Banker organisera le 23 septembre avec le soutien du Corporate Council on Africa la remise du trophée du « banquier africain Edition 2011 ».
Une liste de six banques a déjà été sélectionnée : Standard Bank (Afrique du Sud), Equity Bank (Kenya), First Bank of Nigeria (Nigeria), Banque marocaine du Commerce extérieur (Maroc), Ecobank (Togo).
Le lauréat de l’édition 2011 succèdera ainsi au groupe Attijariwafa Bank (photo).

Addoha veut implanter une usine de ciment en Côte d’Ivoiread


Le géant immobilier marocain Addoha, s’apprêterait à implanter une usine de ciment en Côte d’Ivoire. Anas Sefrioui, PDG du groupe, aurait déjà effectué un déplacement dans ce pays pour étudier les possibilités de création d’une unité de production de ciment.


L’information a été confirmée par des sources du ministère du commerce et de l’industrie cités par le quotidien Akhbar Al Yaoum, qui affirment qu’Addoha serait à la recherche d’un site d’au moins dix hectares pour y construire son usine de ciment.
La capacité de production programmée de cette future usine atteindrait 500.000 tonnes et devrait atteindre à terme un million de tonnes, en fonction du développement du secteur immobilier en Afrique de l’Est.


source http://www.bladi.net 

Une société marocaine offre 45 ordinateurs au CNOSS


Une société marocaine spécialisée en informatique a offert mardi à Dakar 45 ordinateurs et une dizaine d’imprimantes au Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) pour toutes les fédérations sportives du pays, a constaté l’APS.
Le directeur général d’IB Maroc et Sénégal Abdoulatif Adef a remis le premier lot au président du CNOSS, Amadou Diagna Ndiaye.
Pour sa part , Diagna Ndiaye a donné le premier ordinateur au Comité national de la promotion du gymnastique.
‘’Nous avons entrepris de poursuivre, d’accentuer le renforcement des moyens d’action des fédérations, à travers une politique d’équipement divers. Les ordinateurs qu’Abdoulatif Adef, nous a gracieusement offerts nous permettront d’atteindre nos objectifs’’, a dit M. Ndiaye.
Lui emboîtant le pas, Abdoulatif Adef a estimé que sa ’’modeste contribution’’ peut aider les fédérations sportives à ’’aller encore un peu plus loin’’.
‘’J’espère que ça va vous connecter mieux et vous aider à préparer les échéances prochaines’’, a-t-il indiqué.
Par ailleurs, amadou Diagna Ndiaye a émis le vœu de doter les journalistes sportifs d’instruments de travail.
a cet effet, le responsable d’IB a annoncé une contribution de 15 ordinateurs portables pour les journalistes.
http://senegal.senego.com
source 

Addoha et ses trente stars... à 3.6 MDH

3.6 MDH, dont 400 000 DH pour Naïma Samih et 130 000 DH pour Najat Aâtabou... A quoi faut-il s'attendre pour Ramadan 2012 ?


Folie des grandeurs ? Coup de pub monstre ? Après avoir diffusé, au cours de Ramadan 2010, un spot télévisé mettant en scène un hélicoptère en train d’atterrir au milieu d’une foule empressée, le groupe Addoha est allé encore plus loin cette année en louant les services de 30 stars et non des moindres qui chantent une mélodie composée à la gloire des logements d’Addoha : Mahmoud El Idrissi, Naïma Samih, Ba Jeddoub, Haj Moughit, Joudia, Amina Rachid, Mohamed Derhem, Hajja Hamdaouia, Hatim Ammor, Nezha Regragui, Raïssa Tihihite, Saïda Charaf, Driss Roukh…, la liste est longue. Mieux, dans un autre spot télévisé, c’est Najat Aâtabou qui tient le rôle principal. Cachet des artistes : 3,6 MDH, dont 400 000 DH pour Naïma Samih, à elle seule. Deuxième plus gros cachet, celui de Najat Aâtabou : 130 000 DH. Coût global de l’opération, production et achat d’espace média compris : 18 MDH. Il faut dire que l’enjeu en vaut la chandelle pour le groupe qui prévoit de construire 150 000 logements sociaux en 5 ans et qui a mis en chantier 35 000 unités cette année. Le mois de Ramadan est propice à la publicité de ce genre, sachant que le temps passé devant le petit écran augmente de manière considérable. Question ? A quoi faut-il s’attendre pour Ramadan 2012 ?


source leconomiste.com

Innovation : Forbes classe Maroc Telecom dans le top 100 mondial

Forbes a publié son classement 2011, des 100 entreprises les plus innovantes dans le monde. Maroc Telecom, seul opérateur de télécommunications à y figurer, occupe la 88ème place juste après Microsoft qui est à la 86ème position et avant Air Liquide, Toshiba ou encore ABB. Forbes effectue son classement selon un indice appelé ‘Innovation Premium’. Ce dernier repose à la fois sur la tenue de la valeur sur le marché et sur une analyse qualitative des innovations annoncées par les entreprises testées.


source infomediaire.ma

RELATIF AU DETACHEMENT DE DIVIDENDE DE LA VALEUR HPS


ENR.GOFIM.84.1
Casablanca, le 7 septembre 2011 
AVIS N° 128/11 
RELATIF AU DETACHEMENT DE DIVIDENDE  
DE LA VALEUR HPS 
Vu le dahir portant loi n°1-93-211 du 21 septembre 1993 relatif à la Bourse des Valeurs, 
modifié et complété par les lois n°34-96, 29-00, 52-01 et 45-06, et notamment son article 7 
bis ; 
Vu les dispositions du Règlement Général de la Bourse des Valeurs, approuvé par l’arrêté du 
Ministre de l’économie des Finances n°1268-08 du 7 juillet 2008  modifié et complété par 
l’arrêté du Ministre de l'économie et des Finances n° 1156-10 du 7 avril 2010 et notamment 
ses articles 3.2.6, 3.8.4 et 3.8.7 ;
Vu la circulaire n°01/08 du CDVM du 25 mars 2008 relative au traitement des opérations sur 
titres portant sur les actions cotées à la Bourse des Valeurs ; 
Vu la décision de l’assemblée générale ordinaire de la société Hightech Payment Systems 
tenue le 27 juin 2011 et notamment la résolution relative à l’affectation du résultat de 
l’exercice 2010 ; 
Il a été arrêté ce qui suit : 
Article 1  
Les modalités retenues pour l’opération de paiement des dividendes de l’exercice 2010  de la 
société Hightech Payment Systems sont les suivantes: 
Montant brut en MAD          : 8,00
Date de détachement à la Bourse de Casablanca       : 15/09/2011 
Date de paiement           : 26/09/2011  
Centralisateur            : SGMB 
Ticker de la valeur           : ‘HPS’  ENR.GOFIM.84.1
   
Article 2  
La Bourse de Casablanca procédera, en date du 15/09/2011 : 
• A la purge du carnet d’ordres de la valeur HPS ; 
• Et à l’ajustement du cours de référence de la valeur HPS selon la formule suivante : 
Cours de référence ajusté = Dernier cours traité ou ajusté de la valeur HPS – montant 
du dividende brut (MAD 8,00) de la valeur HPS. 
Direction des Opérations Marchés