vendredi 31 décembre 2010

Ayoub Azami nommé DG de Sonasid

Suite aux mauvais résultats et à la sanction infligée il y a quelques semaines par le CDVM, le Conseil d'administration de Sonasid a procédé à une refonte du management de la société. A ce titre Ayoub Azami a été nommé Directeur Général.


source infomediaire.ma

le ministère de la santé procède enfin au retrait de médicaments provoquant une toxicité cardiaque


Après le rappel de tous les lots du médicament «Mediator» disponible sur le marché national, le ministère de la Santé a décidé le retrait de tous les médicaments contenant du «Dextropropoxyphène». Une décision prise en raison du risque de toxicité cardiaque que présente ce principe actif. Un communiqué du ministère de la Santé, en date du mercredi 29 décembre, indique que «le ministère a réuni d’urgence la Commission consultative de pharmacovigilance, qui a jugé le rapport bénéfice/risque défavorable en raison du risque de toxicité cardiaque». Le ministère de la Santé a ainsi appelé les établissements pharmaceutiques détenteurs des autorisations de mise sur le marché de ces médicaments au rappel de tous les lots disponibles sur le marché national et la destruction des lots rappelés ainsi que ceux détenus dans leurs stocks. Contactée par ALM, Raja Benkirane, responsable du département de pharmacovigilance au Centre antipoison, qui a pris part à cette réunion au ministère de la Santé, précise que «les médicaments faisant l’objet de retrait sont le Di-Antalvic du laboratoire Sanofi-Aventis, Bi-Algan de Sanofi-Synthemedic, Paradex de Coopermaroc, Bi-Sedal de Promopharm, Propofan de Frilab-Synthemedic, Xalgix de Sothema et le Dextramol de Pharma 5».
Selon un responsable du ministère de la Santé, le Di-Antalvic avait fait en 2009 l’objet d’une mise en garde. Dans le communiqué du ministère de la Santé, l’on souligne que le retrait de ces sept médicaments se fera à partir du 31 janvier 2011. Pourquoi alors attendre un mois avant de retirer ces médicaments présentant un risque de toxicité cardiaque du marché national ?
«Un mois est la durée nécessaire pour aviser toutes les pharmacies du Royaume. Il faut aussi relever que le danger n’est pas imminent dans notre pays contrairement en Europe et aux États-Unis. Si nous avions constaté un danger potentiel, les médicaments auraient été retirés dans l’immédiat. Jusqu’à ce jour, nous n’avons enregistré aucun cas de décès suite à la prise de ces médicaments», répond Mme Benkirane. Une réponse qui révèle que dans la culture de l’administration marocaine la réactivité est liée à la mortalité : on ne réagit que lorsque l’on a un mort sur la conscience. Étonnant mais typiquement marocain. Un mois entre l’annonce et le retrait effectif de ces médicaments est une période trop longue pour des produits jugés par le ministère de tutelle à risque avéré de toxicité cardiaque. Par ailleurs, Mme Benkirane tient à souligner que la Commission consultative de pharmacovigilance a opté pour le retrait suites aux dernières alertes aux États-Unis. Une étude américaine qui a été rendue publique récemment a montré que les médicaments contenant du dextropropoxyphène seraient responsables d’effets indésirables cardiaques, à des posologies qui sont le double des doses thérapeutiques recommandées en France. S’agissant du dextropropoxyphène, Mme Benkirane précise qu’il «s’agit d’un antalgique. C’est un traitement symptomatique des affections douloureuses qui existe depuis la fin des années 60. Ce principe actif est un dérivé de la morphine qui est très consommé». Ce médicament qui agit contre les douleurs d’intensité modérée à intense est commercialisé en association à des analgésiques de faible puissance comme le paracétamol. En raison du danger que peuvent présenter ces médicaments, le ministère de la santé recommande ainsi aux médecins de ne plus prescrire ces médicaments à de nouveaux malades et de reconsidérer la prise en charge antalgique des malades actuellement traités par le Dextropropoxyphène sur la base des alternatives thérapeutiques disponibles sur le marché marocain.

source aujoourdhui.ma

Sonasid prévoit une baisse des résultats

Le sidérurgiste vient d'émettre un profit warning pour préparer le marché à une probable forte dégradation de ses performances en 2010.


Un autre semestre morose pour l'opérateur marocain leader dans le domaine de la sidérurgie (Sonasid). Mais cette fois-ci, l'on ne sera pas obligé d'attendre l'exercice habituel de la publication des résultats pour s'en rendre compte, comme ce qui s'est passé au sujet du bilan du premier semestre de l'année en cours où tout le monde, sauf le management de la société, a été surpris de constater l'ampleur de la chute des performances de la société.

En fait, tirant les leçons de la sanction que lui a infligée le CDVM (Conseil déontologique des valeurs mobilières) pour non publication de profit warning sur ses résultats au titre du premier semestre 2010, le sidérurgiste se voit obligé de prendre l'initiative et communiquer sur la probabilité d'une forte dégradation de ses performances économiques et financières en 2010.

Et pour cause. Sonasid continue à vivre des moments difficiles en relation directe avec l'acharnement de la concurrence et la perte de dynamisme du marché local.
En fait, explique le management de la société, celle-ci fait face actuellement à une conjoncture défavorable où se conjuguent les facteurs de la hausse des prix des intrants (notamment celui de la ferraille), la surcapacité de la production locale de 40% en 2010 suite à l'arrivée de trois nouveaux laminoirs et du recul de la consommation nationale. Ce qui nécessite la publication d'un profit warning et c'est ce que la société a fait, se disant s'attendre à une nette baisse de ses résultats au titre de l'année 2010. Suite à cette alerte, les réactions ne se sont pas faites attendre.

Ainsi, par exemple, BMCE Capital Bourse suspend sa recommandation sur Sonasid, «dans l'attente d'avoir davantage de détails sur l'ampleur de la baisse des résultats».
De même, Attijari Intermédiation estime qu'il ne faut s'attendre à un redressement visible de l'activité de Sonasid qu'à partir du deuxième semestre 2011.

Pour l'année en cours, les analystes de cette société de Bourse prévoient une poursuite de la dégradation des indicateurs opérationnels de Sonasid, compte tenu d'une intensification de la concurrence sur son marché. Ils jugent «qu'il est plus prudent d'attendre l'approche des résultats annuels pour disposer d'une meilleure visibilité au niveau du marché du rond à béton et du fil machine, mais aussi sur la stratégie de Sonasid vis-à-vis de ses concurrents». Par conséquent, ils disent maintenir un avis neutre sur la valeur.

Par ailleurs, il est à rappeler que Sonasid s'est fait sanctionner en octobre dernier par le CDVM pour non publication d'avertissement sur les bénéfices du premier semestre 2010. En fait, le gendarme du marché lui a adressé un avertissement et une sanction pécuniaire de 67.000 DH.
En outre, en plus de l'obligation de la publication par la société de ces mesures coercitives sur son site Internet, il a été également décidé d'enjoindre aux administrateurs d'assumer leurs responsabilités légales et de prendre les dispositions adéquates afin que les dirigeants remplissent les obligations de bonne information du public, dans le respect des dispositions légales et réglementaires en vigueur.

Le CDVM lui avait notamment reproché d'avoir ignoré la demande qu'il lui avait adressée afin d'émettre un profit warning afin d'annoncer aux actionnaires que ses résultats seront moins bons que prévus.
En outre, le Conseil d'administration de la société vient de décider de procéder à la nomination de Ayoub Azami en tant que nouveau directeur général avec prise d'effet le 1er janvier 2011 ainsi que de Jalil Ajdour en tant que directeur commercial et marketing.

Résultats en repli à fin juin

Au terme du premier semestre 2010, Sonasid a affiché des résultats en forte baisse. Ainsi, le sidérurgiste a réalisé un chiffre d'affaires consolidé de 2,2 milliards de DH, en baisse de 32% par rapport au premier semestre 2009. Une détérioration attribuée à une baisse des expéditions de 33% comparativement à la même période de l »année dernière. Quant à l'EBITDA, il s'est détérioré de 26,1% pour se situer à 223,1 millions de DH, soit une marge de 10,2% à fin juin 2010 contre 9,3% une année auparavant. Enfin, le résultat net de l'ensemble consolidé a accusé une baisse de 45,6% à 82,8 MDH.




source lematin.ma

Risma a réussi son émission d’ORA

Conformément aux dispositions de la note d’information visée par le CDVM le 28 octobre dernier, l’émission d’ORA par Risma s’est clôturée avec succès le 24 décembre.


L’émission d’obligations remboursables en actions (ORA) par Risma s’est clôturée avec succès. Ainsi, conformément aux dispositions de la note d’information visée par le CDVM le 28 octobre 2010, l’émission d’ORA s’est dénouée le 24 décembre. Selon un communiqué de presse de l’entité, l’opération a porté sur le montant maximum de 346,2 millions de dirhams à travers l’émission d’un maximum de 3.462.225 ORA, d’un nominal de 100 dirhams, cotées à la Bourse de Casablanca. Par ailleurs, au terme de la période de souscription, le montant total demandé s’est élevé à 414,75 millions de dirhams, dont 82%, à savoir 341,1 millions de dirhams ont été requis à titre irréductible et 73,61 millions de dirhams, soit 18% à titre réductible. Aussi le communiqué rapporte que trois grandes catégories d’investisseurs que sont les investisseurs institutionnels marocains, les OPCVM et les personnes morales non institutionnelles ont démontré un grand engouement avec une demande qui a couvert la quasi-totalité des souscription à titre irréductible. Ainsi, à la clôture de l’émission d’ORA par Risma, 98% du montant de l’opération a été souscrit à titre irréductible traduisant ainsi l’adhésion des investisseurs au business model développé par Risma depuis plus d’une décennie et actant leur volonté de l’accompagner dans l’aboutissement de son ambitieux plan d’investissement, souligne le communiqué. Par ailleurs, il est à noter que l’opération a été souscrite à 120%. Pour rappel, cette opération d’émission d’ORA s’est effectuée en vue de doter Risma de capitaux permanents pour financer une partie de son programme d’investissement sur la période 2010-2013.
Aussi, l’entité qui compte dans son tour de table, outre Accor, d’importants actionnaires institutionnels, a réalisé, depuis 1996, des investissements cumulés de 3,5 milliards de dirhams avec 1 milliard de Fonds propres tout en maintenant un levier financier toujours inférieur à 70%. Ainsi, convaincus des potentialités du secteur touristique, les actionnaires de Risma ont considéré le développement du parc hôtelier comme la priorité de cette dernière décennie, l’enjeu étant d’atteindre une taille critique permettant de s’imposer comme leader sur le marché. De ce fait, pour atteindre les objectifs de taille critique et réaliser l’ambition d’être le premier groupe hôtelier du Royaume, 2,2 milliards de dirhams ont été investis entre 2005 et 2009 avec comme résultat d’importantes économies d’échelles et des unités phares haut de gamme dans les principales villes du Royaume. Mais également, une chaîne d’hôtels économiques dans 12 villes et une hôtellerie 4 étoiles avec des marques fortes positionnée sur le segment affaires. Il est d’ailleurs intéressant de noter que l’analyse de la performance d’hôtels exploités au Maroc fait ressortir que le point mort est atteint à horizon 4 ans pour les hôtels loisir et à horizon 1 à 2 ans pour les hôtels affaires. Ces horizons seront atteints au cours des cinq prochaines années pour la majorité du parc détenu par Risma, promet le communiqué.

source aujourdhui.ma

Nexans Maroc mise sur son activité export

 35% du chiffre d’affaires à l’export

· Une forte présence en Afrique 

· La filiale marocaine se recentre sur ses métiers de base

Nexans Maroc, filiale du groupe français Nexans, accueille l’année 2011 avec optimisme. Leader national du secteur du matériel électrique, la filiale marocaine opère dans les marchés d’infrastructures, de l’industrie et du bâtiment. L’arme de la société est le déploiement de son expertise dans des solutions clés en main. 
«La principale priorité pour 2011 sera d’accentuer notre développement à l’export, nous concentrer sur nos performances industrielles et continuer d’être innovateur sur le marché en y introduisant de nouveaux produits», annonce Azzeddine Kettani, directeur marketing et ventes.
Nexans Maroc renforcera sa présence en Afrique. «Notre présence en Afrique est une part intégrante de notre stratégie commerciale aussi bien au niveau de Nexans Maroc qu’au niveau du groupe. Nos produits, câbles et équipements électriques, participent déjà à l’électrification des pays comme le Bénin, le Ghana, Nigeria, Sénégal, Mauritanie, RDC, l’Algérie, etc.», souligne Kettani. 
Le spécialiste des câbles a donc profité de la dernière caravane de l’export en Afrique pour renforcer son positionnement sur les marchés visités (Mauritanie, Gambie, Burkina Faso et RDC). Surtout que Nexans Maroc réalise près de 35% de son chiffre d’affaires à l’export. 
L’entreprise a généré au terme du premier semestre 2010 un chiffre d’affaires de 787,9 millions de DH, en hausse de 15,7% par rapport à la même période de 2009. Cependant, pour 2011, «notre chiffre d’affaires, étant totalement lié à l’évolution des cours du cuivre et de l’aluminium, est difficilement prévisible. Notre développement à l’export et les perspectives du marché local pour 2011 nous laissent optimistes quant à la croissance de notre volume de production», estime le directeur marketing et ventes. 
La filiale marocaine a démarré, depuis quelques mois, l’activité de sa nouvelle unité de câblage aéronautique basée à Mohammédia. Fruit d’un investissement de 110 millions de DH, le site produira annuellement 21.000 km de câbles, soit l’équivalent de 150 tonnes. La construction de cette usine intervient dans le cadre d’un accord signé en 2008 entre Nexans et le constructeur Airbus. Le chiffre d’affaires prévisionnel est de plus de 87 millions de DH. Plus d’une vingtaine de donneurs d’ordre sont identifiés sur les 4 continents. Parmi les pays clients, figurent la France, l’Allemagne, la Chine, le Mexique, la Tunisie, l’Australie… 70% de sa production sera dédiée à l’export.
Nexans, rappelons-le, s’est récemment séparée de ses activités batteries de démarrage et batteries industrielles au profit de la société Almabat. Cette activité ne représentait que 8% du chiffre d’affaires. L’enjeu de cette cession est de permettre à la société de se recentrer sur ses métiers de base: câbles et équipements électriques en l’occurrence. 
Nexans Maroc dispose de deux sites de production. Celui de Casablanca, qui regroupe les unités des transformateurs, des cellules moyenne tension et des postes préfabriqués. Le site de Mohammédia concentre les unités du câble d’énergie, câble téléphonique, câble automobile et du câble aéronautique. L’entreprise emploie aujourd’hui près de 800 personnes. «Le niveau de maturité et de performance de Nexans Maroc se confirme en devenant la 3e usine du groupe après celles de la France et des Etats-Unis et le 5e fournisseur au monde des câbles pour Airbus», annonce Kettani.

source leconomiste.com

dimanche 26 décembre 2010

Dar Assafaa lance le compte chèque « Hissab Assafaa »

Bank Al-Maghrib a autorisé Dar Assafaa à collecter des fonds auprès de ses clients afin de refinancer ses investissements. Ces fonds seront affectés à un compte « Hissab Assafaa » permettant aux clients de gérer leur argent au quotidien et de disposer d’outils pratiques comme le carnet de chèque et la carte de paiement « Carte Assafaa ».
Dar Assafaa est une société de financement ciblant les particuliers et les professionnels souhaitant financer leurs projets d’acquisition de biens meubles ou immeubles par le biais de produits alternatifs ne faisant pas usage des intérêts bancaires classiques mais qui reposent sur le principe de « Mourabaha » qui consiste en une opération d’achat-revente à tempérament d’actifs réels et à valeur connue à l’avance. Dar Assafaa achète un bien à la demande de son client et le lui revend majoré par une marge bénéficiaire connue à l’avance. Cette marge est calculée en fonction du profil de la clientèle cible, du risque, de la durée de remboursement des redevances et des charges de fonctionnement de Dar Assafaa.
La filiale d’AWB s’est dotée d’un système d’informations conforme aux produits islamiques qui ne prend pas en compte les dates de valeur, le calcul de taux d’intérêt et la notion de découvert qui n’existe pas dans ce type d’établissement.
Pour se plier à la réglementation bancaire, Dar Assafaa a du conclure avec sa maison mère Attijariwafa bank (AWB) un contrat de Moudharaba en vertu duquel les fonds collectés sont domiciliés chez AWB qui en confie la gestion à Dar Assafaa. Dar Assafaa intervient en qualité de « modareb » comme entreprise jouissant d’une expertise dans le domaine du montage financier et du business plan et AWB comme bailleur de fonds (rab al-mal). Ainsi, AWB apporte les fonds, et Dar Assafaa l’expertise métier, AWB acceptant de partager les bénéfices et les pertes avec sa filiale.
Abdellatif Jouahri, Wali de Bank Al-Maghrib déclarait récemment que dans le cadre du projet de place financière internationale Casa Finance City et de la révision des agréments, le Maroc pourrait autoriser la collecte directe de fonds par les établissements de financement alternatif.
Pour financer les projets d’investissement de ses clients, Dar Assafa a opté dans un premier temps pour la formule Mourabaha. «Les autres modes de financement à savoir Moucharaka et Ijara sont prévus dans le cadre de notre politique stratégique, mais aujourd’hui nous nous concentrons sur la Mourabaha afin de familiariser nos clients avec ce mode de financement », indique Nour Eddine Charkani El Hassani président du directoire de Dar Assafaa.
Il n’en demeure pas moins que ce type de produits a besoin d’être compétitif, notamment en éliminant les derniers obstacles fiscaux tels que la double imposition relative au droit de conservation de 1 % pour le financement de l’immobilier.

source halalmagazine.com

BMCI lance une solution "e-Valeurs" pour les entreprises

"BMCI e-Valeurs" est la nouvelle solution en ligne lancée par la Banque Marocaine du Commerce et de l’Industrie (BMCI), pour permettre aux entreprises de suivre en permanence l’activité de leurs valeurs (chèques, lettre de change normalisée, …) .


Cette solution qui ne nécessite aucun investissement logiciel, permet également des recherches multicritères de façon simple.
Une connexion internet suffit aux entreprises, pour assurer un suivi efficace et sécurisé de leurs valeurs, 24h/24 et 7j/7.

source bladi.net

Le gouvernement gabonais et Maroc-Telecom finalisent le processus de privatisation de Gabon-Telecom

Bourse de Casabalnca : SNEP achète 21,6% de Dimatit

Le CDVM a décidé la suspension à compter du 21 décembre 2010  de l’action SNEP.  Et pour cause, cette filiale de Ynna Holding a acquis 21,6% du capital de Dimatit, filiale elle aussi du Groupe Chaâbi, pour un montant de 183,7 MDH.
 
«Avec cette montée dans le capital de Dimatit, SNEP repositionne sa stratégie et se donne les moyens de ses ambitions de développement en tant qu’opérateur pétrochimique leader dans son acticité», a affirmé Omar Chaâbi à la presse.
 
Dans le cadre du renforcement de l’intégration industrielle aval de la société, le Conseil d’Administration de la SNEP, qui s’est réuni le 20 décembre sous la présidence de Omar Chaâbi, a retenu 1225,5 DH par action, soit la même base de valorisation tant servi à la transaction de cession des 12,5% du capital de Ynna Yolding opéré en 2009.
 
Selon un communiqué de la SNEP, diffusé au terme de la suspension, cette montée dans le capital de Dimatit à 34% n’aura aucun impact sur l’endettement net de la SNEP, lequel se fixe à 448,8 MDH à fin juin 2010, établissant son gearing à la même date à 79,2%. 
 
source financenews.press.ma