Auprès du ministère, il est expliqué que le timing de la vente sera fonction de la conjoncture et des opportunités qui se présentent. «Nous vendrons pour faire un bon placement».
Quand on n’a pas de contrainte de temps ou de budget, on peut mieux faire les choses. C’est désormais le leitmotiv du gouvernement et, précisément, le ministère des finances, en matière de privatisation. Le principe de la liste traditionnelle des privatisables qui était établie chaque année à l’occasion de la Loi de finances devient, du coup, caduc.
Mot d’ordre, le coup par coup. C’est l’exemple de l’opération très attendue depuis l’automne dernier de la vente des 8% des 30% que l’Etat détient dans Maroc Telecom. Auprès du ministère, il est expliqué que le timing de la vente sera fonction de la conjoncture et des opportunités qui se présentent. «Nous vendrons pour faire un bon placement». Au cours du mardi 29 mars, 8% de Maroc Telecom équivalent à 11 milliards de DH, mais «les recettes des privatisations ne vont plus au budget et donc nous ne sommes plus pressés», explique-t-on chez la direction des entreprises publiques et de la privatisation. C’est d’ailleurs dans cet état d’esprit que le ministère a décidé de relancer la vente de la Société de sel de Mohammédia (SSM) qui est pourtant sur la liste des privatisables depuis…2004 ! Pourquoi maintenant ? Parce qu’il se trouve qu’en ce moment l’entreprise est devenue très attractive en raison de l’explosion de la demande mondiale pour cette matière qui sert également à empêcher la formation de verglas sur les routes en hiver.
Mot d’ordre, le coup par coup. C’est l’exemple de l’opération très attendue depuis l’automne dernier de la vente des 8% des 30% que l’Etat détient dans Maroc Telecom. Auprès du ministère, il est expliqué que le timing de la vente sera fonction de la conjoncture et des opportunités qui se présentent. «Nous vendrons pour faire un bon placement». Au cours du mardi 29 mars, 8% de Maroc Telecom équivalent à 11 milliards de DH, mais «les recettes des privatisations ne vont plus au budget et donc nous ne sommes plus pressés», explique-t-on chez la direction des entreprises publiques et de la privatisation. C’est d’ailleurs dans cet état d’esprit que le ministère a décidé de relancer la vente de la Société de sel de Mohammédia (SSM) qui est pourtant sur la liste des privatisables depuis…2004 ! Pourquoi maintenant ? Parce qu’il se trouve qu’en ce moment l’entreprise est devenue très attractive en raison de l’explosion de la demande mondiale pour cette matière qui sert également à empêcher la formation de verglas sur les routes en hiver.
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